Helena

Nom :

Maden

Prénom :

Helena

Âge :

21

Profession :

Fille de plaisir

Rapide description physique :

Helena n’est pas ce qu’on pourrait appeler un canon de beauté mais elle a une particularité qui la rend attrayante. Sa peau est aussi pale qu’un linge, ses cheveux blond/platine coulent en cascade sur ses épaules jusqu’a ses coudes, et ses yeux bleu/verts accentuent encore plus cet effet de pâleur qui émane d’elle. Elle est assez mince pour ne pas dire maigre, et s’habit toujours de vêtements clairs, car le foncé a tendance à affiner encore plus. On aurait dit qu’elle été entourée par une aura de pureté, comme si il n’y avait rien de négatif en elle. Mais cela n’était qu’une vision extérieure

Description psychologique :

Helena a perdu la mémoire. Elle a maintenant un caractère très passif et « je-m’en-foutiste ». Elle ne contredira jamais ce que dit quelqu’un sauf si elle est convaincue du contraire. Elle ressemble à une poupée de laquelle n’importe qui pourrait tirer les ficelles. Elle n’a aucune notion du bien ou du mal et se comporte un peu comme une enfant. En revanche, son visage est bien loin de ressembler a celui d’un enfant. Elle garde toujours un visage inexpressif. Depuis qu’elle est amnésique, elle sembla avoir oublié ce que sont le sourire et le chagrin.

Mortel de : Yue Ono

Passé :

Helena vivait parmi une famille pour le moins normale, du moins en apparence. Son père était un homme d’affaire très strict et prêt à tout pour monter en grade. Sa mère était sans travail et s’occupait de la maison. Helena ne voyait son père que très rarement. Il s’occupait plus de son travail que de sa famille. Helena en souffrait quelque peu mais sa mère disait qu’il fallait lui pardonner car s’était lui qui les faisait vivre. Soit, elle ne lui reprocherait plus son absence. Mais que dire du comportement qu’il avait lors des rares fois ou il rentrait? Jamais un sourire, jamais une phrase d’amour pour sa femme ou sa fille. Dès qu’il rentrait, il se collait à son ordi et continuait de travailler. Parfois il invitait même des collègues de boulot, sûrement pour leur montrer qu’il possédait ne famille normale lui aussi. Elle n’aimait pas ses amis. Certains la regardait parfois avec un drôle d’air.

Au bout de quelques année, Héléna dut bien s’y faire. Elle ne faisait plus attention à lui. Et continua a mener une vie à 2 avec sa mère. N’osant pas la laisser seule, Helena ne quitta jamais la maison, laissant même ses études de côté pour l’aider a entretenir la maison. N’ayant pas de vrais amis sur qui elle pouvait compter, elle n’avait que se mère, comme elle n’avait que sa fille. Ainsi c’était une fille très réservée qui se laissait dirigée par les autres n’osant rien faire qui aurait pu rendre triste les personnes qu’elle aimait. Elle apprenait de belles chansons de film, de chanteurs populaires, et même de manga, en langues étrangères qu’elle trouvait agréable à l’oreille pour détendre l’esprit de sa mère quand cette dernière avait besoin de réconfort. A ce demander laquelle s’occupait plus de l’autre.

C’est ainsi que fut sa vie jusqu’à ce jour qui aurai mieux fait de ne jamais arriver. Elle venait d’avoir 16 ans. La veille de cet évènement, le père d’Helena avait reçu a dîner des patrons qui d’après lui allait lui obtenir une nouvelle promotion si tout ce passait bien. Il avait donc exiger que sa femme et sa fille participent à ce dîner. Aussi le repas fut préparer par le plus grand soin par les 2 femmes. Helena dut se retenir de ne pas cracher dans la soupe de ces messieurs car elle haïssait ces dîner d’affaires dans lequel son père jouait au faux bon père de famille. La soirée se passa, la scène du repas en famille se déroula comme dans le script, ennuyeuse et surjouée par on père qui en faisait des tonnes.

A la fin du repas, elles les laissèrent entre homme et furent enfin libérées. Les regards de ces hommes ne lui avaient pas plus, mais alors vraiment pas du tout. Après avoir fini la vaisselle, Helena monta se coucher sans demander son reste. Quelques heures passèrent, elle entendait toujours les voix dans le salon, elle n’avait pas réussi à s’endormir. Elle frissonnait. Elle ne savait pas pourquoi mais son corps ne voulait pas s’arrêter de frissonner. Pourtant elle n’avait pas froid, elle n’était pas malade, alors qu’est ce qui pouvait provoquer cela? Elle ne tarda pas à comprendre que tout cela n’était qu’une inquiétude marquée, voir un pressentiment...

Vers 2h de matin, elle entendit des bruits de pas derrière sa porte. A moitié assoupie, elle n’y fit pas vraiment attention, mais quand sa porte s’ouvrit, laissant passer un filet de lumière de l’extérieur, elle se releva brusquement, le coeur battant comme si elle avait vu un fantôme. A l’embrasure de la porte se tenait une silhouette massive. A contre jour, Helena ne put voir de qui il s’agissait , mais ce n’était ni sa mère ni son père. Elle hurla un:
Qui êtes vous? A l’intrus qui commençait a entrer dans la chambre. Elle colla son drap contre sa poitrine et le regarda avec de grands yeux effrayés. Sa pâleur ressortait énormément dans ce rayon lumineux qui l’éclairait. L’homme se rua sur elle l’attrapa par les mains et les bloquèrent derrière la tète de la jeune fille. Paniquée, elle hurla de toutes ses forces en donnant des coups de pieds à son assaillant, mais son corps maigre ne pouvait rien contre cet individu. Il lui mit un bâillon dans la bouche de manière à étouffer ses cris. La sensation d’étouffement la fit pleurer, mais elle ne cessa pas de se débattre. Enervé, l’homme la plaqua contre le sommier pour l’étourdir quelques secondes et lui dit:

J’ai acheté cette nuit avec toi, ce soir tu m’appartiens!

Abasourdie, choquée par cette révélation, elle ne bougea plus, laissant l’occasion a son assaillant de déchirer sa chemise de nuit. Les larmes coulaient sur ses joues sans qu’elle puisse les contrôler. Son père était un tel monstre? Elle n’en revenait pas. Et pourquoi sa mère ne faisait rien pour empêcher cela? L’avait-elle trahi elle aussi? Ce fut une nuit de douleur qui suivit. Une nuit de torture interminable. Au petit matin, l’agresseur s’en alla, la laissant meurtrie sur son petit lit d’enfance. Sans force, elle continua a fixer le néant de sa chambre Elle éprouvait a présent une haine certaine pour cet individu qui l’avait vendue pour profiter d’un simple poste plus aisé.

Au bout d’un certain temps, alors que le soleil commençait à bien éclairer les lieux, elle se leva, s’enroulant dans le drap blanc de son lit comme d’une robe improvisée et descendit. Dans la cuisine, le son de la radio était étouffé par la porte fermée, habitude de sa mère qui avait peur de réveiller toute la maison en cuisinant. Elle l’ouvrit et lança un regard dans la pièce. Sa mère était bel est bien aux fourneaux, quelque soit l’heure, elle est toujours levée la première. Mais il ne devait pas être si tôt que ca car son père était assis à la table, entamant la lecture du journal du jour. Elle lui lança un regard sans vie, dans lequel coulait toute la haine accumulée durant cette nuit, ainsi que celle de sa vie entière Restant dans le pas de la porte, elle entendit à peine le A tu es réveillée ma chérie que lui lança sa mère. Son père leva son nez du journal pour tomber avec le regard glacial que lui lançait sa fille. Il eut alors un air étonné et lui dit en grinçant des dents:

Qu’est ce qu’il y a? T’as mal dormi?

Elle fut surprise à son tour de la réaction de son père. Comment osait-il faire l’ignorant? Ce n’était pas un sujet qu’on pouvait traiter avec aussi peu d’intérêt tout de même. Elle serra les poings s’apprêtant à exploser en paroles de rancune et de haine, mais sa mère prit alors la parole:

O ma pauvre j’espère que tu ne t’es pas inquiétée, ton père et moi sommes sortis avec l’un de ces messieurs qui voulait nous montrer un nouveau bar en ville. Comme tu dormais je n’ais pas osé te réveiller.

Helena ne savait plus quoi penser. Son père était-il vraiment dans le coup ou était-ce juste un parole en l’air du bonhomme pour la perturber? La confusion pris le dessus sur la haine et elle repartit en pleurant silencieusement dans sa chambre.

Quelques jours après, alors que Helena et sa mère était allé faire des courses, elles se firent agresser par une bande de jeunes dans une ruelle qui les conduisait chez elles. Peut-être voulaient-ils de l’argent? Peut être autre chose, elle ne put le dire. En voulant se défendre contre un des agresseur, elle lui porta un coup qu’il lui rendit pour l’immobiliser. Elle heurta violemment le mur et perdit connaissance. Du sang coulait de son crâne, elle fut laissée la comme prise pour morte.

Elle se réveilla pourtant, mais se fut dans une chambre d’hôpital. Elle ouvrit difficilement les yeux. La première chose qu’elle entendit fut les « bip-bip » incessants de la machine qui se trouvait derrière elle. Elle leva les yeux pour voir défiler la ligne verte du cardiogramme, puis regarda autour d’elle. Une vaste pièce blanche, une fenêtre ou passait les rayons du soleil, et quelques chaises placées un peu n’importe comment dans la pièce. Elle attendit quelques temps sans bouger, sa tête était encore embrumée par la fatigue. Soudain, quelqu’un ouvrit la porte de sa chambre. Une infirmière munie d’un calepin entra et la regarda avec de gros yeux. Helena eut à peine le temps de se rendre compte de sa présence qu’elle repartit en courant. Que ce passait-il pour qu’elle provoque une telle agitation? Peu après, un homme vêtu d’une blouse blanche accompagné de 2 infirmières dont celle qui l’avait trouvé arrivèrent. Il l’ausculta et lui expliqua qu’elle était restée plus de 4 mois dans le coma. Sur le coup, elle ne réalisa pas vraiment l’étendu de ces mots. Elle se demandait ce qu’elle faisait la. Que c’était-il passé pour qu’elle se retrouve la? Elle ne se souvenait plus de rien... Un mal de crâne la fit fermer les yeux.

Quand elle les rouvrit après s’être rendormie un moment, un visage d’homme était penché au dessus d’elle. Un visage peu aimable avec une moustache et l’air sévère. Elle le regarda un moment les yeux a moitié clos. Le bonhomme avait l’air surpris. Elle tourna la tête pour échapper au regard vide de l’homme. Il lui adressa finalement la parole:

Helena tu vas bien?

Elle le regarda, c’était bien à elle qu’il s’adressait. Alors elle s’appelait Helena? C’était son prénom? Et lui qui était-ce? Son regard parcourut le visage de l’homme pour tenter de se rappeler qui il était, mais rien ne lui venait à l’esprit. Elle ouvrit la bouche pour tenter de parler, mais sa gorge était enrouée. Avec quelques efforts, elle parvint a murmurer

« Qui êtes-vous? » à l’adresse de l’inconnu

L’homme resta bouche-bée, comme si elle venait de l’insulter au plus haut point. Il répondit d’un ton outré:

Mais voyons Helena, je suis ton père.

Voyant que ca n’était pas normal, il partit chercher un docteur, la laissant de nouveau seule dans sa chambre. Ainsi il s’agissait de son père? Pourquoi ne s’en souvenait-elle plus? Un instant après, les médecin lui firent passer une série de test qui prit tout de même quelques heures. En la ramenant dans sa chambre, ils arrivèrent à la conclusion qu’elle était devenue amnésique. Ca confirmait sa pensée. L’individu de tout à l’heure était peut être bien son père alors? Cette pensée ne l’enchantait pas, mais son caractère était peut être plus agréable que son expression.
Après quelques jours à l’hôpital, l’homme la ramena chez lui en se murmurant plus pour lui même que pour elle:

J’ai des projets pour toi ma petite perle

Sur le coup, elle décida d’ignorer cette remarque et de simplement monter dans la pièce que son père avait appelé sa chambre. Durant quelques jours elle y resta cloîtrée, regardant souvent dehors par sa fenêtre. Elle avait envie d’explorer ce monde qu’elle ne connaissait plus, mais son père se gardait bien de la laisser sortir, en prétendant que ca aggraverait sa maladie. Elle l’écouta sans rechigner. L’amnésie l’avait rendue passive. Elle ne réfléchissait plus vraiment, elle se contentait d’observer et de constater sans se poser plus de question. Son père n’était pas souvent à la maison, il ne lui disait rien de se qu’il faisait. Il rentrait le soir pour lui préparer à manger, et elle passait ses journées à se balader dans la maison, et a tenter divers choses pour se divertir, comme les jeux vidéo, les films, les animes japonais sur ordinateur, qu’elle adorait à cause des chansons qu’elle trouvaient jolies.

Au bout de quelques jours, elle en avait de nouveau appris une dizaine, même sans savoir ce qu’elles voulaient dire, juste pars qu’elles étaient jolies.
Une fois par semaine, un docteur venait la voir pour effectuer des contrôles de santé. Cela lui faisait un peu de compagnie. Il parlait beaucoup avec elle, tentant de lui réapprendre des notions qu’elle aurait oublié comme certains sentiments ou émotions, mais même si elle comprenait ce qu’il lui disait, elle ne parvenait pas à retranscrire la moindre émotion. Elle avait un « blocage » comme il avait appelé ca. Un cas à surveiller de près si il ne s’améliorait pas. Mais son père jurait qu’il ferait tout pour qu’elle aille mieux, et qu’il pouvait se passer des services de ce docteur qu’il ne semblait pas apprécier.

Un jour, après que le médecin soit passé, son père était allé en ville acheté quelques bricoles. Il revint avec du décolorant et une robe simple et blanche. Il ne faisait aucun doute que cela était pour elle. En effet, il lui décolora les cheveux en lui vidant la bouteille décolorant sur la tête. Ses cheveux blonds clairs étaient devenus aussi blanc que de la neige, et très fins, fragilisés par le produit. Il lui fit enfiler la robe et la fit sortir de la maison en l’emmenant en voiture a un endroit dont il ne lui avait rien dit. Elle lui demanda:

On va ou?

Il lui répondit:

On va faire fortune mon ange, et tu sera l’actrice principale du théâtre. Tache de bien faire ce que je te dit, tu tiens la vie de papa entre tes mains.

Un peu surprise de cette réponse, elle passa outre, sans poser d’autres questions. Elle verrait bien ce qu’il lui réservait. On lui avait apprit qu’il était normal que les enfants effectuent la volonté de leur parents. Elle allait donc obéir à son père, comme le ferait n’importe quel enfant. Même si cela ne l’enchantait pas, ca allait peut être lui faire passer le temps. Ils s’arrêtèrent devant une baraque qu’elle jugea assez jolie. Une petite bâtisse que l’on ne peut voir que si on s’arrête vraiment devant, avec de gros rideaux rouges veloutés pendant à l’entrée. Ils entrèrent. L’intérieur était très sombre, le plancher craquait sous leurs pas. Il devait s’agir d’un vieux bâtiment. Enfin, une porte leur fit face. Son père lui dit d’un air excité:

Tu est prête, voici le théâtre de tes futurs performances.

Il ouvrit la porte, et ils entrèrent. Il poussa un interrupteur qui mit en marche une nuée de lumière blanche/bleue qui tapissaient toute la pièce, rehaussant une forme ronde qui avait l’air plutôt confortable, qui ressemblait a un lit. Des voilages tombaient du plafond pour cacher les coins disgracieux de la pièce. Cette lumière faisait encore plus ressortir la peau et les cheveux blancs de la jeune fille. L’endroit ressemblait pour elle à ce qu’on appelait « un petit coin de paradis ». Cette ambiance bleutée marquée par les petites loupiottes qui faisaient penser à des fées, les voilages qui donnaient un coté très intime à l’endroit, un lit moelleux sur lequel dormir ne pouvait être qu’un plaisir, bref, une décoration faite de bric et de brocs qui donnait un effet des plus magnifiques. Elle regarda le spectacle, les yeux grands ouverts, en se demandant à quoi il allait servir. Avant même qu’elle ait pu poser les yeux sur son père, il lui dit:

Et voilà, j’espère que ca te plaît car tu va y passer un bon nombre d’heures.

Elle ne voyait pas ou il voulait en venir, mais elle commençait à ne plus être très rassurée. Pourquoi avait-il fait ca? Ce n’était pas juste pour elle, ca c’était certain, mais alors qu’avait-il derrière la tête?
Il se pencha pour atterrir à la hauteur du visage de la jeune fille, et lui demanda:

Tu feras ce que je te dirais Helena. N’est-ce pas? Après tout ce que j’ai fait pour toi, il est temps que tu participe aux frais, car la vie est chère. Très chère. C’est donc à ton tour de faire quelque chose pour ramener de l’argent à la maison.

Ces arguments semblaient lui tenir à coeur, même si elle ne comprit pas tout, elle lui répondit simplement:

Oui papa

Elle le dit, même si le coeur n’y était pas. Il la mena sur le lit moelleux qui semblait être devenu un écrin juste à sa taille. Il la fit asseoir et lui expliqua son projet:

Voilà, des messieurs vont arriver pour te voir. Tout ce que tu as à faire est de les traiter le plus gentiment possible, et d’accepter toutes leurs requêtes.

Elle ne comprit pas vraiment ce qu’il attendait d’elle, mais vu qu’elle n’avait pas le choix, elle se plia à sa volonté.
Son image de marque était devenue « la pureté » pas en tant que virginité, mais comme image de la jeune fille. Son teint pale et l’ambiance que son père avait créée apportait un coté féerique, rappel des vieilles histoires oubliées auxquelles on croyaient étant gosse. Helena attira beaucoup de personnes venues se brûler à cette flamme ravivant leur jeunesse, mais plus ca allait, plus la jeune fille se sentait mal. Un rechute peut être? Quoi qu’il en soit, à la visite du médecin de cette semaine la, ce dernier fut prit d’une vive panique concernant son état. Elle avait maigrit et des cernes c’étaient creusées sous ses yeux clairs.

C’est comme ca qu’elle se retrouva à l’hôpital pour une seconde fois. Sa mémoire la faisait souffrir de plus en plus. Parfois elle ne reconnaissait même plus son père, cas extrêmement rare, car d’habitude les gens parvenaient à retrouver une partie de leur mémoire, mais la, ca ne faisait qu’empirer. Elle ne réagissait plus à rien. Les médecins pensaient que si son cas s’aggravait encore, la jeune fille finirait en légume vivant. Mais tout cela n’état qu’un rôle qu’elle tenait, car elle regardait encore les oiseaux chanter à sa fenêtre, admirant la beauté de leur chant, et se rappelant parfaitement de ceux qu’elle avait appris. Peut être la jeune fille préferait-elle oublier toute sa vie qui n’était qu’une succession de soumission, pour se réfugier dans un monde de néant ou personne ne viendrait lui donner des ordres. Elle reste pour l’instant en observation à l’hôpital Balthus Ivanov, bien que son père compte bien tout faire pour la faire sortir le plus tôt possible pour reprendre ses affaires.



Lien avec d’autres personnages : Pas de liens particuliers


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Fiche validée!! bon jeu

Bienvenue Helena !

merci beaucoup-^^-