Sakuya

Nom : Mitsushi

Prénom : Sakuya

Surnom : Saku

Âge : 20ans

Profession : Prostitué

Rapide description physique : (quote aspho)

Sakuya est d'une taille modeste, ni trop grand, ni trop petit, il n'est pas maigre, mais d'une finesse androgyne qu'il entretient et aggrémente d'accessoires typiquement féminins, tel des kimonos, ou quelques chemises échancrées qu'il laisse délibérément ouvertes, pour choquer?
Oui, Sakuya est un homme de provocation, adorant susciter la harrangue outrée d'une foule conformiste.
Pas pudique pour un sou, il est tout à fait capable de se ballader dans le plus simple appareil, sans se soucier du quand dira-t-on, ou du voyeur d'en face. L'androgyne est nature, et il le montre, narguant les bonnes moeurs de ses travestissements quotidiens.

A sa naissance, Sakuya avait le profil type du japonais moyen, des cheveux d'un noir de jeais, des yeux sombres, il ressemblait en tout point à ses parents, mais par soucis de révolte, et total rejet d'un passé qu'il désire masquer, il arborre des cheveux teint de parme, et des yeux d'un étrange éclat mauve.
Excentrique, il cultive le marginal à son apogée.

Description morale: (quote aspho)

Sakuya est étrange. Bourré de contradiction, il est masque de figuration, il cache sa véritable nature derrière une attitude toujours provocante, voir... médisante. Un sourire qui ne s'efface jamais, éternellement moqueur, il s'affiche, il se montre, et si les regards coulent sur lui, se figent à en être choqué, il ne s'y attarde pas, être remarqué? Son intention. Même s'il ne prêttera, au final, jamais la moindre importance aux visions d'autruis. Il se démarque de son look attypique et se détache par ce fait, du commun de ce monde, accentuant sa différence, sa volonté de ne pas faire partie du troupeau de Panurge, il est ce qu'il est, en a conscience et ne laissera jamais personne lui dicter ce qu'il doit être.
Longtemps rejeté pour ses airs trop féminin, il en devint secret, presqu'enfermé sur lui-même, à en oublier d'exister, vraiment.

Fier, inflexible, tel l'étalon sauvage, marginal, excentrique, parfois égocentrique, il sait encaisser, il a apprît, au fil des années, à se construire le masque d'une personnalité intouchable.
Pourtant, au fond, il reste fragile, sensible et généreux... Mais la carapace qu'il dut se forger ne lui laisse que peu, la possibilité de se dévoiler. Héritage d'une éducation rigoureuse et conformiste qui ne tolérait pas la moindre faiblesse, la moindre sensiblerie.

Perspicace, rien n'échappera à son regard acéré, il exploitera tout les points faibles observés, pour arriver à ses fins, d'un savant calcul? Surtout pour se protéger, à répondre par l'aggression défensive et ne pas être découvert, ne pas être blessé, au fond, cet être se confie peu, introverti qui affiche le contraire...

Mais une fois seul, le rideau tombe, et les parures volent, enfin mis à nu, il se laisse aller, à ce qu'il est vraiment sans artifice, plongé dans la béatitude d'une obscurité beinfaitrice, qui lui fait oublié, un temps, la rigueur du réèl...
Est-il totalement nombriliste? Oui et non... Capable d'écouter, tels ces clients qui ont juste besoin de se confier, et même de secourir ceux qu'il jugera digne, il peut faire montre d'une grande générosité et de baucoup d'altruisme, mais comme toujours, il le dissimule, telle une faiblesse.

Mortel de : Natsumi Hinishi

Passé:
"Ce sera sûrement un garçon fort et puissant, Il sera médecin ou avocat !"

Voilà ce que le père de Sakuya se disait, alors que sa femme en était à 7 mois de grossesse. Un mois et demi passa, et la mère de Sakuya mit au monde un petit garçon, petit bout de chou brun aux yeux de jeais, digne de ses origines japonaises.
Les premières années se passèrent doucement, tranquillement. Sakuya grandit comme tout les enfants, ses parents étaient fiers de lui, et le voyaient déjà entreprendre de prestigieuse étude. Mais, aux alentours de ses 9 ans, Sakuya commença à se détacher des enfants « normaux ». Il cessa de jouer avec les autres garçons, préférant la compagnie plus douce de filles. Il était de taille normale, un poids moyen, mais déjà, dans son attitude on pouvait déceler des traces efféminés encore à peine visible. Un soir, chez lui, il surprit une conversation avec ses parents qu’il ne comprit pas immédiatement. Il se cacha derrière la porte, et écouta tout de même attentivement.

]"-[. . .] maîtresse m'a dit qu’il restait plutôt avec les filles qu’avec les garçons. Tu crois que c’est normal ?
-Mais oui, ne t’inquiètes pas, c’est l’âge, il découvre qu’il n'y a pas que les garçons sur terre
-Oui, mais tout de même, ne crois tu pas qu’on devrait s’inquièter ?
-Mais non, se sera un futur coureur de jupons! Ne t’inquiètes pas!"

La discussion dévia alors sur les courses qu’il fallait faire le lendemain. Sakuya repartit discrètement dans sa chambre. Ses parents apparemment ne voulaient pas qu’il reste tout le temps avec des filles, très bien, il resterait donc avec les garçons. Le seul problème était que, si les filles le trouvaient mignon avec ses airs asiatiques, les garçons eux, se moquaient de lui à longueur de temps. Il se renferma alors sur lui en cette période. Une année passa tranquillement, enfin, tranquillement, pour ses parents surtout, puisqu’il restait tout le temps avec des garçons. Lui, lorsqu’il le pouvait, essayait de se retrouver seul, mais c'était dur, puisqu’il était constamment surveillé par ses parents ou tuteurs.

Pour ses dix ans, ses parents organisèrent une grande fête avec ses « amis ». Sakuya ne voulait pas y aller, il avait peur que ses camarades se moquent de lui devant ses parents, lui qui avait tout fait pour leur montrer une image forte de lui-même. Il resta donc le plus longtemps dans la rue à se ballader.
Mais, alors qu’il se promenait dans un lieu inconnu, marchant tête en l’air, le petit garçon percuta un poteau, violemment et se mit à pleurer sans pouvoir se contenir, comme si toute le peine qu'il avait enduré, surgissait, sans discontinuer.
Une femme de petite vertue, s'approcha alors:

"-Eh petit ça va ?
L'enfant se massa rapidement la tête, il s’était vraiment fait mal, mais son père ne voulait pas qu’il pleure devant les filles, alors il ravala ses sanglots.
"-Oui, merci. . . "
il se leva et regarda autour de lui. Il faisait nuit. Il avait du marcher plus longtemps que prévu
- Excusez-moi, vous auriez l’heure s’il vous plait?
-Oui, bien sûr! Il est exactement 21h54! "

Sakuya s'exclama:

"-Déjà ?
-Oui. Mais dis-moi, qu’est ce qu’un petit garçon, avec de si beaux yeux, fait ici, à cette heure de la nuit?
-Pourquoi? Je suis où?
-Tu es . . . dans le quartier des prostitués.
-Le . . . "

[i]Il paniqua légèrement, et voulut partir mais trébucha un peu partout. Il se retrouva à terre, complètement désorienté, une larme coula le long de sa joue. Il sentit des mains le remettre sur pieds.

" -Eh petit, ne fuit pas comme ça. Je ne vais rien te faire. Mon métier n’est pas brillant, mais je ne suis pas une violeuse d’enfant voyons. Que se passe t-il ?
Où sont tes parents ?
-Je . . . je ne sais pas, je . . . suis perdu je ne veux pas rentrer chez moi!"
Cria t-il presque, baissant la tête, honteux de l’avouer.
"-Je vois . . . suis-moi s’il te plaît, je ne te ferais pas de mal, ne t’inquiète pas. "

Elle le prit par la main. Sakuya hésita quelques secondes, mais de toutes façon, mais de toute façon, il n'avait rien à perdre. Il la suivit donc, jusuq'à arriver devant un escalier en colimaçon, qu'ils gravirent rapidement, le chemin ne lui avait pas semblé long, il fut surpris d'être arrivé si vite. La fille de mauvaise vie reprit:

"-C’est tout petit, je suis désolée, mais je n’ai que ça. Je te laisse visiter . . . Je reviens. "

La main le lâcha, et il scruta les alentours. En effet, se n’était pas bien grand. l'enfant fit rapidement le tour du propriétaire. Il y avait trois petites pièces. Une chambre avec un lit, une douche avec toilette, et une cuisine. Mélodie (c'était le nom de celle qui l'avait reccueilli) revint vers lui rapidement, elle s’était changée et avait opté pour une tenue plus sobre.

" -Allez, viens par là. Tu as soif ?
-Oui . . . s’il vous plait.
-Voyons, tu peux me tutoyer, je m’appelle Mélodie.
-D’accord, et moi Sakuya. "

Il lui sourit, et elle lui sourie en retour. Elle l’emmena dans la cuisine, et lui désigna une chaise pour qu’il s’assoie. Elle lui tendit alors un verre d’eau.

" -Merci.
-Alors . . . dis-moi ce qui s’est passé pour que tu te retrouves ici ? "

Il commença alors l’explication. Tout. Son rejet, sa fuite, ses parents. . .

"-Je vois. Tu veux rentrer chez toi maintenant ?"

Sakuya baissa la tête

"-Non, pas maintenant, mais je veux pas vous poser de problème!
-Oula, ne t’inquiètes pas tu sais. Rien qu'en faisant ce métier je m’attire des ennuis toute seule alors . . . Reste ici tant que tu veux. Dès que tu veux partir, tu pourras.-Merci . . . "

Elle lui embrassa le front, comme d'une mère à son enfant

"-Je vais travailler, tu peux prendre ma chambre, je ne l’utilise pas beaucoup. A demain matin!-Oui . . . "

Il entendit la porte se fermer. Puis, il se dirigea vers la chambre, s’allongea et s’endormit immédiatement.

Plusieurs semaine passèrent ainsi. Il était bien avec elle. La nuit, elle sortait travailler. Alors que le jour, elle restait avec lui. Ils parlaient souvent, elle lui racontait sa vie, comment elle en était arrivée là, lui, de son côté, lui parla du peu qu’il avait vécu, du pourquoi il ne restait qu’avec des garçons. Mélodie lui expliqua alors qu’il ne devait pas vivre pour ses parents, mais pour lui. Il devait vivre comme cela lui plaisait, comme il le souhaitait.

Trois semaines s'écoulèrent ainsi tranquillement. Sakuya se sentait bien avec sa nouvelle amie. Il en avait presque oublié ses parents. Presque . . . Il fallait qu’un jour il retourne chez lui. Il imaginait très bien ses parents avoir engagé un nombre incalculable de personnes pour le retrouver. Mais il restait chez Mélodie, donc, il serait très dur de le retrouver.

Un soir, aux environs de 20h30, Sakuya entendit un bruit provenant de la rue. A écouter plus attentivement, il entendait des sirènes. Il se pencha donc à la fenêtre et vis un attroupement de personne juste devant. Inquiet, il voulut descendre, pour une fois. Il se dirigea donc vers la porte et descendit doucement les escaliers. Une fois en bas, il se dirigea vers le groupe de personne. Il y avait du monde. Il se dirigea dans la foule et un bandeau de police l’empêcha d’aller plus loin. Il ne voyait pas bien ce qu’il se passait, il demanda alors à un policier juste devant lui.

"Excusez-moi, que se passe t’il ? "

Le policier lui jeta un regard, constatant son age, mais lui répondit tout de même.

"Une jeune femme vient de se faire tuer. Elle a été poignardé et volé. Une prostituée apparemment."

Le cœur de Sakuya manqua quelques battements. Il pria, presque desespèrement.

"-Comment s’appelle t’elle ?
-Je ne sais pas, elle n’avait pas ses papiers, mais une personne l'a appelé Mélodie je crois, toute à l’heure.
-Noooon !"

Il ne s’occupa même plus du policier, rapidement, il passa la barrière, et se dirigea vers la foule attroupée autour du cadavre. Puis, il s’arrêta à quelque pas, les policiers, trop abasourdi par ce qui venait de se passer ne bougèrent pas et le regardèrent prendre l’inconnue dans ses bras, effleurer son visage, le regarder, sa main, mais pas ses yeux, descendre jusqu'à la blessure, et s’imprégner les doigts de sang. Il murmurait quelque chose, berçant le corps de Mélodie.

"Ne pars pas, pitié, s’il te plait, ne pars pas, reste avec moi, j’ai besoin de toi."

Les agents mirent un moment avant de se ressaisir et de prendre le petit garçon avec eux. Il était en état de choc, avec encore du sang sur les mains. Ils l’emmenèrent au poste et l’interrogèrent plus tard. Sakuya leur révéla alors qui il était, ce qu’il faisait chez elle. Ils cherchèrent alors dans le fichier des enfants disparus et contactèrent ses parents. Une heure plus tard, le gamin était dans leurs bras, sa mère avait les larmes aux yeux, son père se retenait difficilement. Une fois arrivé chez eux, ils allèrent s’asseoir dans la cuisine.

Passé, suite

"-Alors que s'est t’il passé? Cette femme ne t-a rien fait ?
-Non, au contraire
-Comment ça ?
-Elle m'a aidé à comprendre se que je veux être
-C’est à dire ?
-Vous verrez bien. "

C'est sur cette phrase que sa vie commença à changer.


Il grandit sans trop d’ennuis, enfin, cette fois, c’était pour lui, et non pour ses parents, car il changeait petit à petit, il changeait. Son look devint plus androgyne, au grand détriment de ses parents, avec qui il s’énerva plusieurs fois pour ce fait. Adolescent, il se démarqua rapidement des ados de son age, par sa manière d’être, son attitude féminine, provocante. Depuis la mort de Mélodie, il restait de marbre face aux autres et son attitude lui valait les mépris de tous.

Jusqu'à ce qu’à ces 18 ans, tout bascula.
Un matin, Sakuya se promenait dans la maison, la chemise légèrement ouverte, ses cheveux long remontés en un chignon négligé, tout en lui respirait la féminité et il se sentait si bien, épanoui. Son père qui passait par là, n’était pas de cet avis.

"Habilles-toi correctement et coupes-moi ses cheveux, on dirait une fille. "

Sakuya le regarda l’air détendu

"-Et alors ?
-Et alors, tu crois vraiment que je vais laisser un futur avocat devenir une. . . . . tapette? Je mérite mieux que ça, moi ! Vas te changer immédiatement "

Sakuya s’énerva légèrement. Ce n'était pas suffisant qu'on l'insulte à l'extérieur? Ici aussi il devait y avoir droit?!

" -Et alors ? Qui te dit que je veux devenir avocat ? Je n’en veux pas de ton bel avenir moi ! Je suis très bien comme je suis, et sûrement mieux dans ma peau que tu ne le seras jamais!
-Insolent, comment oses-tu, moi qui me suis saigné à te payer des cours particuliers! Comment crois-tu que je les aient payé ? Grâce à mon misérable emploi de gardien de musée.. Je ne veux pas d’un homme qui n’aime pas les femmes dans cette maison. Alors, vas te changer immédiatement avant que ta mère n’arrive. "

Juste à ce moment là, sa génitrice arriva.

" -Que se passe t’il ?
-Il se passe que ton fils se prend pour une femme. Regardes son attitude, son visage, ses vêtements, tout ! "

Elle dévisagea son fils.

" -Oui, tu as raison. Chéri, ne veux tu pas aller te changer s’il te plait ?
-Toi aussi maman ? Non mais je rêve. Pour mon visage et mon corps, je n’y peux rien, ce n’est pas moi qui me suis mis au monde tout de même non ? Je ressemble à une femme et alors ? C’est ma vie non ?
-Fils, si tu ne veux pas changer, sors de cette maison!
-TRES BIEN ! "

Sur ses mots, il fonça dans sa chambre, pris toutes ses économies, mis ses affaires dans un sac en vrac, et redescendit, en se dirigeant vers la porte. Sa mère le retint par le bras, éplorée.

" -Je t’en prie, ne pars pas. On ira voir des spécialistes, tu redeviendras normal, s’il te plait.
-Normal, tu veux que je sois normal, ne crois tu pas que c'est toi qui n’agit pas normalement là ? Je suis libre d’être ce que je veux. Je veux être comme ça, alors je le serai ! "

Sa mère chercha désespérément un soutien paternel, mais celui ci détourna la tête et partit dans la cuisine. Sakuya se dégagea, la laissant ballante, seule au milieu du hall, et il s'enfuit dehors.Une pluie fine s'abattît sur son visage, il leva les yeux au ciel. Un temps magnifique pour tout abandonner. L'androgyne partit alors en ville, avec la ferme intention de retrouver ce qui fut son ancien nid, dificilement, puisque cela faisait des années qu’il n’était pas allé chez elle, il se dirigea vers l’ancienne maison de Mélodie.

L’appartement était ouvert, et vide. Il alla voir directement le propriétaire, et prit possession de l'appartement grâce à un héritage lointain qu'il n'avait pu utiliser avant sa majorité. Sakuya s’y installa et s’acheta de quoi vivre pendant quelques jours. Mais il lui fallait un travail. Avec l'argent qu’il possèdait, il pourrait facilement survivre un moment, mais un jour, il serait à court . C’est alors qu’il pensa à Mélodie et l’idée vint d’elle-même. Il ferait comme elle, en souvenir d’elle. Il espérait que malgré son look, il y parviendrait, de toute manière, il ne savait rien faire d'autre, il n'avait plus vraiment le choix. Il alla alors s’acheter des habits « convenables », toujours dans la même optique.

Il eut rapidement un vif succès, car son physique attirait justement plus que ne repoussait. Les hommes ainsi que les femmes voulaient savoir ce que ça faisait que de coucher avec un androgyne. Et il attisait la curiosité avec ses cheveux qu’il avait teint en violet, pour être différent, pour se delester, s'éloigner plus encore du conformisme dont il avait si longtemps été victime, et y ajouta des lentilles parmes.

Cela dura un an, plutôt tranquillement, mais un jour, le poid de la solitude le poussa à toucher, pour la première fois de sa vie, à l'héroïne... Et ce fut le déchéance...
La journée, il traînait dans la rue, on le connaissait sous le nom de Saku, et pour tous il était une femme. La nuit l'androgyne traînait dans les rues, des fois s’effondrait sur le sol totalement shooté, il ne passait que peu de temps dans l’appartement, et sa santé se dégradait de plus en plus. Mélodie l’aurait sermonné si elle avait pu voir ça . . . Il sombrait petit à petit dans la folie...
Et ses clients, continuaient d'affluer, ne venant, parfois que pour parler,et pour ce moment confié, alors, il redevenait celui qu’il était, sobre et poli. Il se droguait, seulement lorsqu’il se sentait trop seul. Ou lorsque ses clients aimaient ça. Chemin faisant, il se forgea un masque pour le monde. Il devint l'extraverti, l'égocentrique, suivant sa mode, toujours pour choquer. Le monde du silence n’était pas le sien, il parlerait, quoi qu’il arrive ! Mais pas de lui.
Il crierait ce qu'il qu'il voulait être! Tout en dissimulant sa fragilité.

Mais derrière ce masque, se cache un homme qui fuit la réalité grâce aux drogues, et qui passe le peu de temps qu’il à seul, à se morfondre sur lui même.

Lien avec d'autres personnages : aucun


[Supplément] Comment avez-vous connu ° Les Gardiens ° ? Kamui^^

Humpf, Humpf, Dieu ne t'affoles pas des incohérences, c'te rebelZ androgyne de la life s'en va corriger tout ça très bientôt (puisque je m'en suis chargé).

Au final, ça rend pas si mal (enfin, je parle de la fiche corrigée), simple, mais toute aussi tourmentée, relis toi encore quand tu seras en état choupette, j'ai corrigé un maximum de fautes, mais il doit ptêt en rester. (et j'ai ptêt rajouter des absurdités aussi, c'est pas impossible vu mon état de fatigue )

Bon courage à son gardien xD

Bienvenue ^^

Je pourrais valider uniquement lorsque les fautes seront corrigées (et aussi les incohérences, du genre, dans la description physique, tu mets qu'il avait yeux et cheveux marrons, alors qu'après, c'est blond au yeux bleus )

oups ^^, ben en faite, j'ai refait rapidement ma fiche, et j'a du zapper se détail^^

Je m'en occupe^^

Par contre, je vais avoir du mal avec les fautes^^. . . merci à Aspho^^

Maintenant c'est OK,
Tu peux modifier fiche et profil car ton nouveau Gardien t'a été attribué

Merci dieu^^ je suis en train (a l'aide de plusieurs personne il faut l'avouer) de corriger les fautes

je m'en vais poster de se pas^^