Nom : NISHIKADO
Prénom : SÔJIRÔ
Surnom : Aucun surnom lui a était donné jusqu'a maintenant.
Âge : 17 ans
Profession: Prédécesseur de son père....
Rapide description physique : SÔJIRÔ est un jeune homme de petite taille pour son age mais pas pour autant fragile. Ses cheveux de couleur noirs son mi-long et généralement mal coiffé. Il est quotidiennement bien vêtu, toujours d'habit classe et décontracté.
Description psychologique : Il déteste l’agitation et aime parfois bien se retirer dans un endroit calme. Il aime regarder les étoiles et se retrouver dans un silence complet et une nuit noire pour pouvoir les contempler. Son avenir déjà tracé dans la richesse et le luxe, il ne semble pas s'en réjouir. Gardant au fond de lui un manque d'affection et de liberté.
Mortel de : Personne pour le moment.
Passé : Sôjirô est un jeune homme âgé de 17ans, vivant dans une famille extrêmement riche. Son père est le dirigeant d'un groupe financier ayant un poids important sur l'économie du japon. Il est donc destiner à reprendre la société de son père le moment venu. Pourtant il ne voit pas les choses comme ça. N'ayant jamais eu de réelle ami, et personne a qui parler Sôjirô est une personne réservé et timide. Ne parlant que très rarement. Au fond de lui il hait les obligation familiale, rêvant d'une vie normal
Son éducation a était, depuis son plus jeune age la plus strict qu'il soit. Ne fréquentant aucune école il reçut chez lui les professeur les plus réputé du pays, lui apprenant par les anciennes méthode japonaise. Devant faire des efforts machinal de mémorisation nécessaire pour maîtriser le système d'écriture, contribuait en outre à développer la passivité d'esprit. Au lieu d'apprendre à penser, ils lui indiquaient ce qu'il devait penser. Transformant alors son éducation en instrument de pouvoir. Avec cette rude éducation il devais bien sur pratiquer un sport "noble", c'est pourquoi il fut initier a l'escrime très tôt. Diplômais très vite il partis a l'étranger pour étudier l'économie.
Entre ses cours il travail déjà dans les locaux familiale, gérant une partie de la société.
En se premier dimanche du moi la société Dômyôji (tel fut le nom quel porter depuis bien une 20ene d'année) avais son habituelle banquet réunissant de nombreuses personnes riche et connu. Ce soir était un soir spécial pour Sôjirô, en effet son père voulait profiter de cette soirée pour inaugurer et officialiser l'achat d'un nouveau groupe financier écrasant alors toute concurrence. Pour marquer le coup il mit se succès dans les mains de son fils, devant alors discourir un instant devant la foule. Ayant fini de se préparer il sortie de la demeure familiale et se dirigeant vers sa voiture.
"Monsieur" dit le chauffeur en lui ouvrant la porte. "Monsieur".... Combien de fois l'appelle t'on comme ça? a chaque prononciation de se terme un étrange malaise se saisi de lui.
Installé dans une bien grande voiture Sôjirô répéta a voie base sont discourt qu'il avais tant préparer. Mais sa nature voulus que tout soit parfait alors il récita inlassablement le discourt encore et encore depuis maintenant une semaine, la moindre minutes de temps libre était destiné à préparer se discours. Le cortéger des voitures se mit en route, la première voiture comportait les amis proche de son père la seconde son père lui-même et la dernière était celle ou il se trouvait, seul, à appréhender cette soirée ennuyeuse qui s’approche.
Arrivé au lieu-dit, Sôjirô suiva sont père, jusqu'à la salle. Elle était bondée de monde toujours plus friqué les uns que les autres. A peine entée dans cette immense salle q’une personne vint le trouver pour lui demander d’allez commencer son discours. Il se rendit alors sur l’estrade contemplant la salle, tapota sur le micro pour attirée l’attention de la foule et commença sont discourt. Il fut applaudi, pendant de longues minutes. Rejoignant sa place quelque personne le féliciter encore, un léger sourire au visage il ne ressenti rien, toute les paroles qu’on lui faisait était t’elle sincère ?
Il asseya a sa place, la soirée commença a peine et déjà il s’ennuyait. Un groupe de jeune personne vint alors le rejoindre, se présenta a lui, un moment il crus qu’enfin il arriverai a parler normalement.
« Moi, moi, moi, moi, moi…. » Des fils et fille de bourge…. Une conversation encore lassante dont il détestait tant. Poussant un léger soupire il se leva et sortis. S’éclipsa de cette soirée stupide. Marchant dans la nuit il se rendit dans un parc s’allongeant alors et contempla les étoiles. Voila comment il finissait la plupart des soirées. Le calme voila se qu’il aimait.
[Je n'ai pas tout a fait terminé]
Lun 14 Mai - 21:45
