Nom : Roronoa
Prénom : Kohza
Surnom : Carnage, bloodyroad king
Âge : 18 ans
Profession : Aucune, mais pratique l'air trecker
Rapide description physique : Kohza est un jeune homme assez bien fait. Bien qu’il ne soit pas très grand (1m70) son corps est svelte et assez musclé car il pratique son sport quotidiennement, à savoir l’air treck qui est une sorte de roller nouvelle génération muni de moteur, avec lesquels il s’amuse à "planer" au dessus des toits de la ville.
Il a un visage très fin et androgyne qui le complexe par rapport au sexe féminin. Ses yeux sont dorés et ses cheveux sont noirs. Son oeil gauche a été blesser lors d’un affrontement avec un autre groupe de air treck. Depuis lors, il porte toujours un bandeau sur cet oeil. Il porte souvent un pantalon blanc ou noir et une sorte de veste/camisole avec de longues manches qui lui tombent jusqu’aux genoux quand elles sont détachées le tout orné de longues lanières munies de crochets aux extrémités lorsqu’il est dehors.
Sinon il reste dans les tons noirs/bleus au niveau vêtement et aime l’excentricité.
Description psychologique : La psychologie de Kohza est assez complexe. Depuis la mort de son jumeau, son âme est comme brisée. Quand il met ses air trecks aux pieds, il devient une sorte de psychopathe . Si quelqu’un ose le déranger, il se fera un plaisir de le maltraiter grâce aux crochets qu’il fait tournoyer autour de lui quand il « vole » sans aucun état d’âme. C’est pour cette raison qu’il a été baptisé «Bloodyroad King » par les autres air treckers. Il ne tue pas mais s'amuse de la douleur de ceux qu'il considère comme mauvais.
En revanche, il peut être adorable avec une personne qu’il connaît. Auparavant il aimait son frère plus que tout et c’était la seule personne avec qui il dévoilait ce coté « mignon ». Mais depuis, il ne l’a plus jamais utilisé.
Il a du mal à exprimer ses sentiments et émotions et les poussent souvent à l'extrème, aussi bien du coté positif que négatif de la chose.
Bien qu'il soit très expressif, il est mal à l’aise avec les filles et fait tout pour les éviter.
Son visage androgyne lui a valut du succès auprès des minettes de la rue desquelles il garde le plus de distance possible. S’étant fait utiliser par son cousin policier comme arme contre les criminels, il ne fait plus confiance à personne et erre à travers la ville sans savoir trop que faire.
Mortel de : Kahina Ayumi
Passé : Arrêtés lorsqu’ils avaient 7 ans et exécutés pour menaces contre les Etats Unis d’Amériques, le père Allemand et la mère Thaïlandaise de kohza les laissèrent lui et son frère aux bons soin de leur famille. L'histoire était assez trouble.Aparrement, ses parents voulaient émigrer la bas, mais le racisme et la méfiance présents dans la socièté américaine les en empechèrent. Dès lors ils appartenèrent aux groupes de réfugiés qui tentaient d'entrer dans ce pays luxueux. Mais leur groupe de résistant devint rapidement un facteur de criminalité. Les membres se permettaient de détruire et de piller, et furent vite mis à nus, arrétés et exécutés sur la chaise éléctrique dans ce pays ou on tuait les prisonnier comme on envoyait des bovins à l'abatoir.
Les jumeaux furent donc élevés chez leur oncle, le frère de leur mère. Leur famille d’accueil était composée d’un père de famille bedonnant, pour qui son premier fils était sa plus grande fierté. Ce fils, leur cousin, avait 10 ans de plus qu’eux. Les cheveux longs, blanc décolorés, certes séduisant, toujours débraillé, mais excellent élève à l’école. La mère, une femme qui aurait parfaitement pu illustrer « la commère » et la « mère poule »dans le dictionnaire était aussi une bonne vivante, bien qu’elle ait de profondes cernes dues à ses insomnies ou à ses nuits blanches passées à observer se qui se trame chez les voisins .Son fils était également tout pour elle. Elle prenait un malin plaisir à le comparer à Akito, le jumeau de Kohza, qui lui était tout l’opposé. Il était d’une santé fragile, son corps frêle semblait bien maigrichon sous les vêtements amples qu’il mettait :
"Tante : Regardez moi ça. Tu ne pourrais pas t’habiller mieux que ça gringalet ? Tu ne feras jamais rien de ta vie je l’ai toujours su...tu es juste un traîne savate inutile".Akito n’osant pas répondre de peur de se faire punir d’avantage, se contentait de baisser la tête. Et lorsque Kohza lançait un regard mauvais ou répondait à sa tante, il se faisait frapper par cette dernière, par soit disant manque de respect. Il ne pouvait pas faire de mal à cette famille, aussi ignoble qu’elle fût, car ils se seraient retrouver facilement à la rue...et son frère ne pourrait pas supporter le changement de confort et surtout de climat.
Ces situations avaient pour habitude de mettre kohza en rogne. C’était là le plaisir de sa tante. N’osant pas s’en prendre directement à Kohza, elle rabattait tout son mépris sur le plus faible.
Sa famille d’accueil le laissait pratiquer un sport qui le gardait éloigné de la maison, à savoir « l’air treck » nouvellement inventé en ville. Ce sport se basant sur des rollers motorisés permet aux casses coups de planer dans les airs, au dessus des toits, de faire des figures acrobatiques incroyables et d’atteindre des vitesses fulgurantes qui donnaient presque l'impression de voler quand on savait les maîtriser.
Ce bonheur le libérait de la pression de sa famille, mais il ne durait jamais bien longtemps, car Kohza n’aimait pas laisser son frère tout seul. Akito n’avait jamais fait de air treck à cause de son corps chétif du au manque de sport, donc restait à jouer à la maison en attendant le retour de son frère.
Cette aptitude plu à son cousin, qui avait la politique du « pourquoi faire ce qu'on peut faire faire par quelqu'un d'autre ». Il se servit de Kohza pour devenir populaire dans son métier de policier en lui permettant de se battre avec des personnes qui semaient le trouble de la rue. Il tenait à montrer sa supériorité en le mettant en cage (dans une cellule de prison) pendant son service et lui faire subir des choses dégradantes.
Cette vie se fesait de plus en plus insupportable aux yeux des jumeaux. Ils en souffraient psychologiquement et physiquement, car ils mangeaient moins que les membres de cette famille qui allégeaient leurs rations de nourriture à chaque repas.
Un jour ou son frère était au plus mal, il décida de l’emmener avec lui pour une séance d’air treck.
Il lui en rapporta une paire gagnée lors d’un combat contre un autre air trecker et lui dit :
"Kohza : "Tu veux venir avec moi ?"Akito : "euh...je...je ne sais pas en faire"...K : "je vais t’apprendre, et je ne te lâcherai pas la main."A : "Vraiment ?" Son regard sembla avoir changer dès lors... Moins morne, touché d’une pointe d’excitation. Kohza lui sourit et lui répondit, attendri :
K : "bien sur...Tu viens ?""A : oui" répondit-il d’un air joyeux, presque ému...Qu’il était mignon
Ils enfilèrent leurs Air trecks, Kohza prit Akito par la main, et ensemble ils s’envolèrent sur les toits des maisons. Bien sur ce n’était pas facile de maintenir son frère sans qu’il perde son équilibre mais plus ils avançaient, plus il arrivait à sa débrouiller. Ils se sentaient bien tous les 2 pour une fois, ensemble.
Mais c'est une occasion que saisit un groupe de air treck qui avait été victime de la justice du cousin des jumeaux. Ils étaient nombreux, au moins 7, portant des masques et de tenues noires et les entourèrent d'un air menaçant.
Essayant de leur échapper, les 2 frères passèrent sur un bon nombre de toits et d'immeubles, mais Akito qui venait à peine d'apprendre avait du mal à suivre les mouvements de Kohza. Et c'est cette faiblesse que les autres exploitèrent.
Les attendant à un carrefour, 3 autres individus masqués se jetèrent sur eux. Kohza les esquiva, mais déjà, 2 autres air treckeurs les avaient rejoint, et attrapèrent Akito par la jambe. Le déséquilibre engendré par ce mouvement vif fit lâcher prise à Kohza qui se retourna pour tenter de rattraper son frère en train de tomber du haut de l'immeuble ou ils avaient été pris en embuscade. Néanmoins, un violent coup dans les côtes le propulsa loin de la main d'Akito et il retomba sur le dos. Se relevant avec l'énergie de désespoir, il évita les autres coups et couru vers l'endroit d'où il avait été éjecté avec l'espoir d'y revoir l'expression de frayeur de son frère afin de la rassurer. Mais arrivé au lieu dit, il n'y avait plus rien.
Quelqu'un lui plaqua la tête contre le sol, à moitié dans le vide et là il ne vit que le noir de la ruelle profonde au dessus de laquelle il se trouvait. Les coups continuaient mais il ne sentait rien. Quelle douleur physique peut remplacer des maux d'amours? Les yeux exorbités, il se rendait peu à peu compte de la situation. Plus jamais il ne verrait son frère... Par sa seule et unique faute... C'est ce qui résonnait dans sa tête. Au début cette phrase n'avait aucun impact tellement elle semblait invraisemblable. Mais peu à peu, les larmes se mirent à couler de ses yeux dorés jusqu'à l'endroit ou était tombé Akito.
La rage succéda vite à la tristesse. Se sentant oppressé, il donna un violent coup de tète à celui qui le retenait et se redressa doucement, Son corps endolori avait du mal à rester debout. Il agrippa les lanières à crochets qu'il avait autour de lui et commença à les faire bouger. Les yeux cachés derrière ses cheveux longs, il releva légèrement la tête pour repérer la position des ennemis. Et en un éclair activa ses air trecks et se lança dans la bataille. Ses crochets menés par les mouvements souples de ses jambes venaient se planter dans les corps de ses victimes pour leur accorder la vengeance qu'il avait décidé de leur faire subir. La bataille ne dura qu'une demi heure tout au plus. Les hommes étaient incapables de bouger d'avantage. Il ne les tua pas, car pour lui, la douleur était la meilleure des vengeances. Peu après il s'écroula.
Le réveil fut douloureux. Un rêve dans lequel se reproduisaient les événements de la nuit dernière lui fit se redresser brusquement dans un lit d'hôpital, les larmes coulant sur ses joues.
Hélas non. Tout était bien réel.
Il apprit quelques jours plus tard qu'il allait être mis en hôpital psychiatrique. Ne pouvant supporter d'être enfermer une 2e fois, il s'échappa de son lit. Depuis lors, il vit de ses air trecks dans la rue qui a vu disparaître l'unique personne importante à ses yeux. La vengeance engendrée par ce phénomène touche tous ceux qui oseraient s'en prendre à lui encore une fois. Et le pire, c'est qu'il y prend plaisir. Son seul plaisir dorénavant.
Lien avec d'autres personnages : [Supplément] Comment avez-vous connu ° Les Gardiens ° ? un site de top forum
Sam 21 Avr - 19:45
