° Les Gardiens °
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 Maellys Watanabe

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Maellys
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MessageSujet: Maellys Watanabe   Maellys Watanabe Icon_minitimeLun 9 Avr - 23:37

Nom : Watanabe
Prénom : Maellys
Surnom : Maë
Âge : 26ans
Profession : Médecin des Urgences de l’Hôpital Balthus Ivanov.

Rapide description physique :
Maellys est une jeune femme de taille moyenne, svelte et joliment musclé. Son visage légèrement ovale aux pommettes hautes, au front droit et nez fin est embellit par ses grands yeux gris en amande, bordés de longs cils noirs. Son regard à la fois perçant, et ensorcelant lui vaut toujours l’attention des personnes qu’elle rencontre. Elle a une bouche sensuelle et un sourire enjôleur qui apporte une touche de douceur supplémentaire à son visage… Maë a de longs cheveux noirs et fins qui s’arrêtent au niveau de sa taille. Elle les attache d’un ruban de soie, avec des baguettes en bois laqués ou les laisse libre sur ses épaules. Lorsque l’on voit Maë pour la première ce que l’on remarque c’est la couleur ambrée de sa peau, ses yeux légèrement bridés et son sourire mélange de ses origines Irlandaises et japonaises. Ceux qui auront l’occasion de la connaître un peu mieux remarqueront à un moment ou un autre un tatouage à la base de la nuque représentant un idéogramme japonais. Maellys porte également un tatouage à l’épaule gauche représentant un trèfle et une fleur de pommier entremêlés ce tatouage cache une cicatrice… Elle porte également une cicatrice près du cœur…

Description psychologique :
Solitaire c’est peut-être la première chose que l’on peut penser à propos de Maellys. Elle est un peu rêveuse, elle flâne dans son monde sans avoir forcement besoin d’être entourée à tout moment. Cette douce solitude lui est venue de la perte de ses parents lorsqu’elle était encore adolescente. Pendant une grande période de temps elle s’immergea avec un plaisir dans une dépression profonde. On la croyait autiste, ne parlant pas, ne cherchant pas le contact avec les autres. Et puis sans savoir comment elle sortit de son mutisme et une grande transformation s’opéra. Alors ce qui devint perceptible chez Maellys c’est sa détermination sans failles, sa volonté inébranlable, son besoin d’être vivante, d’être là dans ce monde, même seule.

En grandissant elle s’est mise à vivre comme si elle ne pouvait pas perdre une minute, comme si elle était en sursis sur cette planète. Maë recherche pourtant la compagnie des autres, elle a un grand besoin d’être rassurée, d’être réconfortée. Elle aime se faire des amis, rencontrer de nouvelles personnes. Sa façon de voir les histoires de cœur déroute les gens. On la trouve légère, insouciante voir allumeuse en la voyant traîner au bras d’une nouvelle aventure chaque soir. Et si elle se montre sous le visage d’une fille aux mœurs légères, c’est surtout parce qu’il est plus facile d’oublier un visage d’une nuit qu’un amour naissant.

Si elle se laisse approcher facilement, en revanche sa confiance n’est jamais acquise, elle est méfiante et le cercle de ses amis et de ses intimes est très restreint. Et puis derrière cette façade de combativité, de solitude, de cœur d’artichaut, Maellys se révèle être quelqu’un d’attentionnée, de généreux et de sensible. La musique comme la photo sont devenus pour elle son principal moyen de communiquer, d’exprimer ses sentiments. Elle n’est pas pour autant timide ou introvertie mais elle aura plus de liberté à montrer qui elle est vraiment en jouant ou en laissant son objectif capter quelque chose qui la touche plutôt qu’en faisant de longs discours ou de longues déclarations.

Maellys a toujours été une petite fille vive d’esprit, dynamique et intrépide et en grandissant cela c’est accentuée. Elle a toujours eu beaucoup de volonté et de courage que ce soit dans ses études, dans ses loisirs ou tout simplement lorsqu’elle prend des décisions importante. Pendant ses études elle a fait preuve de beaucoup d’abnégation et de patience montrant ainsi qu’elle pouvait tenir le choc et se forger un moral à toutes épreuves ne se laissant pas envahir par ses démons.

Lorsqu’elle commença son internat de Médecine, elle devint très vite l’une des internes préférées des patients par son dynamisme et sa façon de s’exprimer. Il suffit de quelques instants pour se lier avec cette jeune femme sensible, émotive qui a parfois mauvais caractère. Elle est intransigeante, colérique, obstinée et n’en fait qu’à sa tête lorsqu’elle est sûre d’avoir raison. Son émotivité est aussi un défaut lorsqu’elle lui fait perdre son sang froid devant des situations graves ou douloureuses. On dit d’elle qu’elle est perfectionniste, intuitive, à l’écoute mais aussi et surtout qu’elle est exigeante, obstinée et qu’elle aime avoir le dernier mot. En définitive il vaut mieux avoir Maellys parmi ses amis que parmi ses ennemis, car elle fera tout pour défendre ses proches jusqu’à y laisser sa réputation ou sa vie. Une chose est sûr un jour elle retrouvera les assassins de ses parents et ce jour là elle sera sans pitié avec ceux qui lui ont volé sa vie.

Côté loisirs Maellys croque la vie à pleine dent. Elle aime les sports extrêmes et ne manque jamais une occasion de faire du rafting, du parapente ou du surf. Il faut dire que passer à quelques cheveux de la mort ça vous donne envie de sentir la vie couler dans vos veines. Elle se passionne pour la musique à travers la guitare. Elle adore la photo, elle emporte partout le vieux Réflexe Nikon de sa mère et prend tout ce qui touche son âme. Maellys aime flâner dans les jardins, dans les rues que ce soit en plein jour ou sous la voûte argentée de la lune.

Maellys déteste les gens pressés, ceux qui n’ont que le profit et le pouvoir comme salut. L’hypocrisie, le machisme, ou encore la violence gratuite la mettent hors d’elle. Elle n’aime pas non plus rester chez elle à ne rien faire, elle n’a pas de temps à perdre et surtout pas de temps à ruminer ses idées noires. Pour la plupart des gens elle peut sembler super active mais en réalité elle ne se laisse jamais une minute de peur de retomber dans le gouffre de la dépression.

Pour finir, le style vestimentaire de Maellys est surtout le symbole de coup de cœur. En générale elle porte à peu près tous les styles mais elle a une préférence pour les vêtements dits « vintage », elle aime porter des vêtements qui ont déjà vécu, qui ont déjà été portés. Pour parfaire sa silhouette elle aime se munir d’accessoire, des bottes, des escarpins, un chapeau, une écharpe, des boucles d’oreilles, des bracelets mais jamais de colliers.

Mortel de :…


Dernière édition par le Mar 10 Avr - 9:30, édité 1 fois
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Maellys
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MessageSujet: Re: Maellys Watanabe   Maellys Watanabe Icon_minitimeLun 9 Avr - 23:37

Suite...

Passé :

**
L’histoire de Maellys commence par la rencontre de ses parents Charlotte et Takeshi Watanabe. C’est à Tokyo que Charlotte O’Neil s’installa lorsqu’elle termina ses études des Beaux-Arts. Elle savait qu’à Tokyo son talent de photographe et de portraitiste serait plus apprécié qu’à Dublin ou Londres. Elle avait eu beau faire le tour de l’Europe découvrant différentes façons de travailler sur les matières, sur les sujets, sur la façon de prendre La bonne photo, elle ne s’était jamais sentie chez elle. Et puis elle avait décidé de découvrir le japon et ses secrets. Au cours de ses recherches elle rencontra des artistes peintres, comédiens, chanteurs, musiciens et puis il y a eu la rencontre. Charlotte tomba sur Takeshi Watanabe, un jeune journaliste politique, lors d’une de ses expositions dans une petite galerie de Tokyo. Il s’avéra que Takeshi était l’un des descendant d’une grande famille d’artistes, et qu’il avait par chance hérité du talent de son grand-père Akira pour la prose et la musicalité des mots. Il séduisit la jeune femme par quelques haïkus d’une rare beauté et par son charisme. L’alchimie qui existait entre les deux jeunes gens donna naissance à jolie petite fille Maellys un beau soir de printemps, le 21 mars 1981 à Tokyo. Elle eut une enfance heureuse, où elle apprit avec bonheur les traditions et les coutumes de ses ancêtres Irlandais et Japonais.

Les premières années de la vie de Maellys se déroulèrent sous le signe d’un bonheur radieux et sans nuages. Elle vécut dans un espèce de cocon sans avoir jamais conscience du danger qui pourrait un jour surgir devant elle. La première fois qu’elle s’essaya à la musique ce fut involontaire. Comme tous les petits japonais, elle allait à l’école et ne s’ennuyait jamais étant toujours entourée d’une joyeuse petite bande de copains. Un atelier Musique fut mis en place, ils commencèrent par taper sur des tambourins, pour écouter les différents sons, s’éveiller aux sonorités. Maellys montra un engouement particulier pour la musique, tant et si bien que professeur de musique en fit part aux jeunes parents. Il leur expliqua qu’il était rare à cet âge de trouver un intérêt pour la musique et demanda à ce que la petite Maellys participe à la classe d’éveil à la musique du Conservatoire impérial de Tokyo. Lorsqu’au dîner, on annonça à la petite que désormais elle allait étudier la musique à la fois en classe mais aussi dans une vraie école de musique. Ses yeux gris brillèrent de joie, de fierté et de plaisir.

De 8 à 13ans, Maellys passa beaucoup de temps avec ses professeurs apprenant à manier le solfège, à apprivoiser les instruments dont elle aimait le son : le piano et la guitare. Le fait que ses parents étaient de véritables amoureux de l’art et de la musique renforça le lien familial. Maellys savait que ses parents comprenaient sa passion et qu’ils ne feraient rien pour l’empêcher de devenir une musicienne de talent. Adolescente Maellys continua son apprentissage enchaînant également les concours et les auditions pour intégrer de grands conservatoires. Takeshi et Charlotte l’accompagnaient dans tous ses déplacements ne renonçant pas pour autant à leurs carrières respectives. Charlotte s’était fait un nom dans le milieu bobo de Tokyo et Takeshi était un journaliste apprécié pour ses chroniques et ses réflexions spirituelles. Il avait surtout une très bonne plume et n’hésitait jamais à dire ce qu’il pensait.**


Quand on lit ce résumé de la vie de Maellys on ne peut s’empêcher de penser que tout cela est idyllique, qu’elle a eu beaucoup de chance, que sa vie a été une fête perpétuelle. Pourtant toute médaille à son revers et il en est de même ici. Trop de bonheur, trop de talent est la vie vient vous rappeler que vous n’êtes que de simples mortels sans défenses. C’est ce qui arriva à Maellys.

***
Un stupide accident de Voiture, voilà ce que l’on entendit partout. Un simple et stupide accident comme il y en a tellement, une chaussée rendue glissante par la pluie, une glissière de sécurité qui n’a pas joué son rôle au bord de la route et voilà une famille détruite. L’accident fit les gros titres du Japon pendant des semaines, déplorant la mort de l’un des couples les plus adulés du Japon qui laissait seule leur petite héritière entre la vie et la mort. Pourtant ceci n’est que la version officielle de c qui arriva à Takeshi, Charlotte et Maellys Watanabe. La pluie, la chaussée glissante tout cela est vrai mais ce que l’on ne raconta pas c’est qu’ils n’étaient pas seuls sur la route, on les envoya dans le décor et vers la mort.

Les Watanabe rentraient d’un voyage à Kobe où Maellys âgée de 15ans venait de remporter un Prix pour son interprétation au piano du « Clair de Lune » de Debussy. Le retour sous une pluie fine était agréable ils riaient et chantaient quelques vieux tubes des années 70 que sa mère aimait tellement. Personne ne se rendit compte qu’ils étaient suivis par un énorme Pick up noir aux vitres teintées.

Soudain le Pick up se déporta sur la voiture qui fit une embardée contre la glissière de sécurité. Takeshi appuya sur l’accélérateur pour échapper à ce chauffard, encore un alcoolique au volant pensa-t-il pour lui-même. Ainsi pendant quelques minutes il échappa au monstre mécanique mais on n’échappe pas aux hommes de Hayo Toshinori, le parrain de la Mafia Japonaise, sans périr. Quand une violente secousse propulsa la voiture une nouvelle fois sur la rambarde de sécurité alors tout s’éclaira pour Takeshi. Depuis quelques années il travaillait sur un livre racontant l’histoire de l’un des plus grands clans de la mafia Japonaise, le livre venait d’être publié trois jours avant leur départ. A chaque livre publié le journaliste recevait des dizaines de lettres de menaces mais il n’y avait pas vraiment prêté attention jusqu’à celles qu’il avait reçu le lendemain de la parution. Un coursier lui avait remis un pli dans lequel se trouvait des photos de sa femme et de sa fille ainsi qu’une lettre les menaçant. Suivant la sagesse de ses ancêtres il n’avait pas voulu prêter foi à ses allégations et n’en avait parlé à personne ne voulant pas gâcher le voyage. Il recevait tellement de menaces concernant ses articles et ses livres qu’il avait apprit à vivre avec.

Rapidement Takeshi expliqua la situation aux femmes de sa vie et s’excusa de ne pas en avoir parlé avant. La mère et la fille restèrent muettes devant cette nouvelle puis rassurèrent le père aussi bien qu’elles le purent. Jusqu’à ce que Charlotte poussa un cri de stupeur en voyant le Pick up se rapprochait dangereusement de leur voiture, la portière coulissante du Pick up ouverte laissant apparaître une mitrailleuse. Dans un éclair les projectiles atteignirent les portières, les vitres volèrent en des milliers d’éclats blessant la famille et un bruit assourdissant envahit l’habitacle. Les hommes de mains venaient de faire éclater les pneus de la voiture si bien qu’elle s’explosa dans la barrière de sécurité laissant tout le monde complètement abasourdis et ensanglantés. Tout cela était tellement surréaliste pour Maellys.
Une minute avant elle chantait des chansons démodées avec ses parents et la seconde d’après les voilà dans le décor. Elle sentit le sang chaud couler le long de son front, des éclats de verres dans les cheveux, les mains, elle avait mal partout et elle entendit des pneus crissant sur la route…

A ce moment là rien n’est fini pour les Watanabe bien au contraire.

Les hommes de la Mafia descendirent du Pick up et s’approchèrent du véhicule accidenté. Takeshi les vit venir vers eux et dans un souffle il embrassa sa femme et parvint à serrer la main de sa fille au visage ensanglanté. Soudain une salve de balles atteint les occupants, Takeshi fut tué le premier de trois balles dans le cœur, Charlotte fut touchée au front, à l’épaule et au cœur. Les hommes en noirs inspectèrent la voiture et découvrirent l’adolescente de 15ans, le visage en sang. Ils la pensèrent déjà morte mais Kenji le plus sadique s’approcha de Maellys et lui tira une balle entre l’épaule et le cœur. Le corps de la jeune fille se tordit une dernière fois sous la douleur et demeura inerte. ***


Aucun bruit, aucun son ne parvint à Maellys. Elle essaya d’appeler ses parents mais pour seules réponses elle n’entendit que le silence de la mort, des bruits de pneus qui démarrèrent à toute vitesse et sa propre respiration. Son épaule la faisait souffrir, elle manquait d’air, elle avait un goût de sang dans la bouche et pourtant elle sentit une douce chaleur près d’elle, elle se sentait partir doucement. Et puis plus rien.

****
C’est grâce à un jeune couple de motard, qui avait donné l'alerte en voyant la voiture accidentée , qu’elle fut sauvée. La balle avait touchée une artère et c’est à moitié vidé de son sang que Maellys fut transportée. Pendant des journées entières on l’opéra, on tenta de la maintenir en vie, transfusant son sang, essayant divers traitement de choc pour la sortir de son coma. L’acharnement du Professeur Okinawa pour la maintenir en vie paya lorsque la jeune fille rouvrit les yeux au bout d’un mois. Maellys se réveilla dans un hôpital de Tokyo dans une chambre blanche, stérile de toute émotion, de toute chaleur parentale. Pourtant ce n’était que le début de son cauchemar, elle apprit qu’elle était seule au monde, que ses parents n’avaient pas survécu à l’accident. Elle était la seule rescapée, la culpabilité lui étreignit le cœur.

Et puis pourquoi lui parle-t-on d’un accident ? Pourquoi tout le monde fait comme s’il ne s’était rien passé de plus qu’un accident de la route ?
Maellys ferma les yeux et essaya de comprendre, de refaire le chemin de cette journée tragique. Une voiture noire, des balles, des pneus qui crissent, des vitres qui éclatent et cette douleur entre l’épaule et le cœur. La jeune fille rouvrit les yeux et toucha son épaule gauche, il y avait un bandage entre le cœur et l’épaule. Elle n’avait pas rêvé la balle qu’elle avait reçu, elle n’avait pas rêvé le meurtre de ses parents. Mais pourquoi veut-on oublier le meurtre de ses parents ?

Dans la tête de Maellys cette question reste toujours sans réponse. Après l’accident, ses grands-parents avaient préféré l’éloigner de Tokyo où tout le monde pouvait la reconnaître. Kyoto n’était pas un si mauvais endroit pour grandir mais elle ne pouvait pas y apprendre grand-chose sur sa vie, sur ses parents. On ne peut pas dire qu’elle ait été malheureuse auprès d’eux pendant les quelques années qu’elle y passa mais avouons-le vivre avec des personnes de plus de 60ans quand on est adolescente c’est un peu difficile. Et surtout cela ne remplace des parents que l’on aime et qui vous manque chaque jour un peu plus. Voulant respecter le choix de Takeshi et Charlotte, ses grands-parents voulurent l’inscrire dans un Institut de Musique où l’on étudiait la musique autant que les matières essentielles à l’obtention du diplôme de fin d’études.

Maellys refusa cette opportunité, elle ne voulait plus entendre parler de la musique, elle ne voulait plus toucher à un instrument. C’est comme ça que la demoiselle se réfugia dans une vie imaginaire où elle pouvait retrouver ses parents, leur parler et vivre avec eux. Elle donnait le change à ses grands-parents obtenant des notes correctes dans toutes les matières et réussissant son examen de fin d’études. Maellys n'était pas la première de sa classe loin de là, ses professeurs se lamentaient souvent auprès de sa famille, expliquant que si elle le voulait vraiment elle pourrait faire de brillantes etudes. Mais voilà la jeune maellys était plus intéressé par les garçons, les sorties nocturnes et ses amis que par ce que racontait ses profs. Lorsque vint pour elle l’heure de commencer ses études universitaires, elle décida de retourner à Tokyo pour intégrer la faculté de Médecine ne laissant pas le choix à ses grands parents, elle était majeur désormais. Elle allait pouvoir tenir la promesse qu'elle s'était faite un jour retrouver les assassins et rendre toute l’attention et les soins qu’elle avait reçu après l'accident. Alors quoi de mieux que devenir médecin pour soigner les gens à son tour.

C’est ainsi que Maellys prit le chemin de l’université, bien décidé à devenir médecin gardant toujours le souvenir de ses parents près d’elle comme une présence rassurante. Pendant ses années de fac Maellys rencontra beaucoup de monde certains au fil du temps étaient devenus des amis qu’elle chérissait tendrement. D’autres au contraire n’avaient fait que traverser sa vie apportant du réconfort et parfois remplissant sa solitude. Après la mort de ses parents, Maellys ne voulait plus toucher à un instrument et tint son engagement pendant quelques années.

Pourtant un jour elle se décida à remettre la musique au centre de sa vie et tout changea, elle sentit alors le besoin de vivre tout intensément, ne plus perdre une minute. Personne ne savait qu'elle avait repris la musique, ce n'est que pour elle-même qu'elle jouait quelques morceaux. Quand à La photographie, c'est plus en tant qu'hommage à sa mère qu'elle la pratiquait. Elle n'avait pas un grand talent mais cela devint un moyen d’exprimer sa véritable nature, d’exprimer ce qu’elle ressentait réellement. Ainsi dans les villes qu’elle visitait un casque sur les oreilles et un appareil photo entre les mains Maellys prennait les clichés qui l’inspiraient, les instantanées des endroits, des personnes, des moments qui la touchaient.

Et enfin quand vint l’heure de choisir un hôpital où elle allait pouvoir exercer, elle accepta un poste d’interne du service des Urgences de l’hôpital Balthus Ivanov. Il y avait plusieurs raisons à sa venue d’une part elle allait pouvoir accomplir sa vocation de médecin, et d’autre part elle aurait la possibilité de continuer les recherches sur les hommes qui avaient assassiné ses parents. Maellys n'aurait de repos qu'au moment où la lumière serait faite sur ces meurtres. ****


Depuis qu'elle est arrivée en ville il y a deux ans, Maellys a eu le temps de voir et d'apprendre beaucoup de choses sur les personnes qui entrent et sortent de son hôpital. Elle ne saurait dire ce qui fait que cet endroit est à la fois étrange et unique mais toujours est-il qu'elle s'y trouve bien.

Lien avec d'autres personnages :

Maellys connait quelques uns des patients de l'hôpital surtout les victimes de traumas, de viols et ceux qui tentent de se suicider. Bien sûr il y a également les patients réguliers ceux qui ont des maladies rares et qui viennent chaque jour, chaque semaine.
Elle passe également un peu de temps à la bibliothèque à cause de ses recherches sur ses parents. Et au cours de ses balades elle a pu capter les portraits de certaines personnes.


[Supplément] Comment avez-vous connu ° Les Gardiens ° ? Sur un top-site.


Dernière édition par le Mar 10 Avr - 9:46, édité 1 fois
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Marie M
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MessageSujet: Re: Maellys Watanabe   Maellys Watanabe Icon_minitimeMar 10 Avr - 0:15

Et une musicienne photographe de plus, et une ^^

Très bonne fiche, mais attention à ne pas écraser les autres sous ta perfection, l'histoire fait quand même "surdouée gâtée par la vie douée en tout: Art, musique et études", ce qui très rare quoi qu'on en dise.

Fiche évidemment validée.


Au passage, très bien que tu sois médecin, on en manque par rapport aux accidentés divers et variés...
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Maellys
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MessageSujet: Re: Maellys Watanabe   Maellys Watanabe Icon_minitimeMar 10 Avr - 0:23

Je prends note de tes recommandations sur le fait que mon perso semble surdouée et artiste hyper active mais il n'en reste pas moins que Maellys ne joue de la musique et ne fait des photographies que pour elle. Elle ne partage pas ou alors très rarement le fruit de ses découvertes.

Ce n'est que que par le passé qu'elle était prédestinée à être une artiste de renom. Désormais elle n'est que médecin pour le reste du monde et artiste pour elle-même. Et puis on ne peut pas lui en vouloir si elle réussit comme je le dis dans son passé, chaque médaille à son revers.

Voili voilou!!
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Asphodèl
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MessageSujet: Re: Maellys Watanabe   Maellys Watanabe Icon_minitimeMar 10 Avr - 0:40

On ne remet pas en cause les capacités de cette demoiselle (coool, un médecin!), mais, juste, que ce n'est pas la première à être si particulièrement douée ici, et qu'il y a une certaine propantion à la perfection (à savoir, être forcément doué dans plusieurs arts, une vie intellectuelle active, une grande beauté) qui peut être lassante.

Jolie fiche quand même hin, et bienvenue! (forcément ^^=)


ceux que tu as surement du cotoyer voir soigner sont sur ce lien => https://lesgardiens.actifforum.com/Les-Gardiens-Introduction-c1/La-Genese-f4/Les-liens-et-points-communs-des-persos-du-jeu-p3471.htm#3471
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Maellys
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MessageSujet: Re: Maellys Watanabe   Maellys Watanabe Icon_minitimeMar 10 Avr - 9:28

Merci pour tous vos conseils et votre accueil Smile.
Je pense faire quelques petites retouches pour enlever cette image de perfection lol. C'est la première fois que je vais aussi loin dans l'histoire d'un perso alors forcement je me suis un peu emballée ^^
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MessageSujet: Re: Maellys Watanabe   Maellys Watanabe Icon_minitime

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