° Les Gardiens °
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 . BYRON Cléhadore .

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Cléhador
Invité




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MessageSujet: . BYRON Cléhadore .   . BYRON Cléhadore . Icon_minitimeVen 9 Mar - 0:03

Nom : BYRON

Prénom : Cléhadore

Surnom : (S'il y a lieu) Kidd. [Avec deux ‘dd’. Surnom que lui donnent ses collègues du Casino. ]

Âge : 17 ans et 6 mois.

Profession : Aucune.

Rapide description physique :

Pour décrire une personne, physiquement du moins, il est toujours plus aisé de prendre un point de vue extérieur. Créons donc de toute pièce un contexte : Imaginons que vous rencontriez Cléhadore dans la rue, par le plus grand des hasards.
Ce qui vous frapperait tout d'abord chez le jeune homme, ce serait inévitablement ses cheveux, plus particulièrement leur couleur, tout ce qu’il y a de plus artificiel, étant donné qu’il les a teints dès qu’il en a eut l’opportunité (Voir Histoire). Ces derniers sont en effet d’un gris clair, aux pâles reflets bleus.
Originellement d’un brun foncé, sa chevelure courte, tout ce qu’il y a de plus banale, encadrait son visage, et pour cause : un jeune homme de bonne famille ne se doit pas de se laisser aller à des coiffures fantasques.
Cependant, j'emploie l'adverbe 'Originellement', car il est inutile de préciser que ce n'est plus le cas. Par je ne sais quelle folie, sûrement celle générée par la nouvelle et délectable liberté, il s'est décidé à les laisser pousser jusqu’à mi-longueur, ce qui a pour inconvénient de lui barrer parfois la vue.
Cette dite chevelure irisée encadre un visage fin, illuminé par deux yeux couleur d’eau douce, savant mélange de vert, de mordoré et de bleu pâle. Ses pupilles sont comme une grande étendue d’eau stagnante, calme, comme la rivière qui suit lentement son cours, où sommeille une lueur enfantine, une flamme qui ne se rallume pleinement que lorsque, son jeu en main, il mise tout sur le 21, son numéro favori, raflant par la suite des sommes abracadabrantes.
Un peu plus bas, nous pouvons apercevoir un joli petit nez, fin, tout comme les traits généraux de son visage et un menton très légèrement pointu, surplombé de lèvres fort bien dessinées et d’un rose, ma foi, très pâle.

Pour clôturer cette brève description, qui ne remplacera jamais un face à face, parlons de généralités. Autant vous dire que Cléhadore est loin d’être un tas de muscles. Très élancé et plutôt maigrichon, il ne peut impressionner, et encore je doute que cela soit possible, que par sa taille, son poids plume, 60 kilos, ne l’aidant en rien. En effet, le jeune homme atteint les un mètre soixante-quinze.

Particularité : Vous le verrez, le plus souvent, vêtu de sa casquette noire et bleu ciel, qu’il aime tout particulièrement et qui lui va, il faut le dire, très bien.


Description psychologique :

En chaque être réside une part d’enfant. En la laissant s’exprimer librement durant le temps qui lui est normalement imparti, les chances sont moindres pour qu’elle se manifeste à haute dose durant le reste de votre vie adulte. Ayant eu l’opportunité de se montrer au grand jour, ‘de faire son temps’ et d’évoluer en tenant compte des facteurs extérieurs, elle reste donc à sa place : quelque part au fond de nous, refaisant surface quand la situation l’exige réellement.
Mais un autre cas de figure peut se présenter. Durant l’enfance, la préadolescence et l’adolescence en elle-même, si cette partie de tout être est comprimée, refoulée, elle jouera des coudes, assénera des coups de pieds comme l’enfant exprime son mécontentement dans le ventre de sa génitrice, pour enfin arriver sous les feux de la rampe. Dans ces cas extrêmes, elle peut devenir dévastatrice suite au décalage entre l’âge et le comportement qu’elle fait sentir.
Pour illustrer ce que l’on avance, il faut toujours un exemple. Cléhadore sera notre cobaye, étant, en effet, victime du phénomène.
Conditionné jusqu’à ses dix-sept ans par le travail, l’assiduité, la rigueur, le don de soi aux études, aux sciences frôlant l’abstraction et aux lettres envoûtantes, le jeune homme n’a jamais vraiment eu le temps d’être un réel enfant/adolescent.
Quels sont les symptômes caractéristiques de l’enfant/adolescent ? En premier lieu, ce dernier est immature. En effet, il ne réfléchit en aucun cas aux conséquences de ses actes et agit sans se poser quelques minutes pour peser le pour et le contre. Chez tout être normalement constitué, l’adolescence est, entre autre, un apprentissage de la vie : on y fait des erreurs et c’est ces dernières que notre immaturité nous a fait commettre qui vont nous forger une certaine expérience, indispensable pour se frayer un chemin dans cette vie.
Pour tout vous dire, Cléhadore ne connaît rien de cette dernière. Il n’a fait aucun essai, n’a jamais pris de risques, n’a jamais fait d’énormes bourdes qui, gravées à jamais dans son esprit, lui auraient permis de ne pas renouveler la chose et d’en tirer une ‘leçon’, comme se plaisent à le dire les adultes. Voilà pourquoi il n’en fait qu’à sa tête, ignorant les difficultés et aléas d’un si jeune homme héritier d’une si grosse fortune. Il mène donc sa vie comme il l’entend, pensant que, sans aucunes notions pourtant, il en est le parfait maître car il possède le ‘Césame Ouvre Toi’ en ce bas monde : L’argent.
Ne nous voilons pas la face, après tout ce n’est pas faux. Si encore il eût su s’en servir, nous eûmes pu dire que ce n’était pas trop mal. Le fait est qu’il, comme dit l’expression familière, le jette par les fenêtres, pour assouvir sa plus grande passion : le jeu. Expert du Black Jack, ceci est sa drogue. Et pour se procurer sa dose, tout comme le junkie, il est prêt à tout.
Hors du Casino, plus rien ne l’intéresse. Comme le regard dédaigneux de l’enfant face aux autres jouets, face à ceux qui ne sont pas ses favoris. Cléhadore est désinvolte vis-à-vis de la plupart des choses. Le luxueux appartement légué par son père à son fils bien aimé est dans un capharnaüm épouvantable, prenant des proportions gargantuesques. Il a sorti toute sa fortune et n’économise absolument rien. C’est juste un grand gamin riche qui est tombé amoureux du jeu. L’avenir n’est qu’une vision abstraite pour lui, il est ancré dans un présent qui lui sourit mais qui ne promet rien. Absolument rien.
N’ayant pas du tout le sens des responsabilités, le jeune homme n’a même pas eu le bon sens de faire engager quelqu’un pour prendre les bonnes décisions à sa place. Cela lui aurait coûté de l’argent, cet argent qu’il dévoue à une seule cause. Si sa vie eut été une barque, il l’aurait manœuvrée avec un bandeau sur les yeux, au ‘feeling’, comme le disent nos amis Anglo-Saxons.

Outre cela, il est bon de préciser que Cléhadore est incapable de faire du mal à une mouche. N’étant ni friand de joutes verbales, ni grand amateur de ‘bastons’, il fiche volontiers une paix royale à quiconque fait de même avec lui. Son côté ‘grand gamin’, développé ci-dessus, et son relatif pacifisme le rendent, en tout et pour tout, assez attachant.



Mortel de : Qui veut =) [ Un personne de sexe féminin si possible. ]

Lien avec d'autres personnages : Aucun

[Supplément] Comment avez-vous connu ° Les Gardiens ° ? Par Michaela E. Killarney.


Dernière édition par le Mer 14 Mar - 15:10, édité 5 fois
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Cléhador
Invité




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MessageSujet: Re: . BYRON Cléhadore .   . BYRON Cléhadore . Icon_minitimeVen 9 Mar - 0:05

Histoire :

Nous savons tous depuis bien longtemps que les enfants ne naissent pas dans les choux, encore moins les cigognes qui les apportent enrobés dans un linge blanc.
La venue au monde d’un enfant commence par une amourette plus ou moins idyllique entre deux personnes, mariées ou non, et finit dans l’hôpital le plus proche, après moult efforts et en prime le fameux premier cri du nouveau né.
La naissance de Cléhadore n’a pas fait exception à la règle. Maryweather Kerry et Edward Byron, ses géniteurs, tous deux issus de familles nobles, se sont rencontrés un beau jour de printemps, saison des amours, et se sont tout de suite plûs. S’il existait une définition rigoureuse du coup de foudre, peut-être eussent été leurs deux prénoms avec pour fond ce beau jour de Mai. Convaincus qu''Eux deux c’était pour la vie et plus encore’, ils allèrent, pour ainsi dire, vite en besogne, et le jeune homme fut conçu dans les mois qui suvirent leur fabuleuse rencontre. S’en suivirent les formalités d’usages telles que le choix du prénom, la création de la future chambre de l’enfant, la sempiternelle question ‘C’est une fille ou un garçon ?’ et j’en passe. C’est sûrement à propos du prénom qu’ils discutèrent et argumentèrent le plus longuement. C’était primordial le prénom. Une étiquette qu’on gardait à vie et qui devait rien qu’à l’écoute refléter qui l’on était et à quelle classe sociale l’on appartenait.


« Voyons Maryweather ! Un noble anglais ne peut pas se prénommer Cléhadore !

- Et pourquoi pas !, rétorqua-t-elle indignée.

- Parce qu’un jeune homme de bonne famille se nomme James, William ou encore Charles, mais pas Cléhadore !

- William, James, Charles !, l’imita-t-elle avec un sourire amusé. En voilà des noms ronflants ! Pourquoi refuses-tu obstinément un brin de nouveauté ! Et puis Cléhadore, ça a de l’allure, avoue le. »


Et ainsi de suite. Quelques mois plus tard, envers et contre tous, l’enfant vint au monde, dans les dates imparties et avec un poids des plus normaux. Un sourire vint même illuminer à l’unisson les visages des deux parents, l’un anxieux à en mourir, celui du père, l’autre aux traits tirés par la fatigue, celui de la mère. Arriva alors le choix crucial du prénom. Face à la détermination de sa femme, Edward avait du abdiquer. Il n’avait jamais été un homme à la volonté d’acier et il aimait tellement sa femme qu’il osait rarement la contredire plus de quelques semaines. Une infirmière en blouse blanche fit alors irruption, venant s’enquérir du prénom du nouveau né :

« Comment voulez-vous l’appeler Madame ?

- Cléhadore, répondirent-ils au même instant.

- Très joli prénom. Mes félicitations.


Ce fut ses derniers mots car sans plus de discours, elle s’empara de l’enfant afin de lui apporter les soins nécessaires. On pria Mr Byron de quitter la pièce afin de laisser sa femme se reposer et ce dernier dut obtempérer, lâchant à regrets la main de sa compagne.
Quelques jours plus tard, une semaine tout au plus, la petite famille rentra au manoir, l’enfant unique dans les bras, au départ d’une nouvelle vie pour chacun d’entre eux.

Lorsque l’on est petit enfant, on se rappelle peu de souvenirs. Quelques anniversaires, quelques souvenirs humiliants de maternelle, quelques anecdotes, assez rares, qui nous ont, on ne sait pourquoi marquées, mais rien de plus. La réelle mémoire, enregistrant méticuleusement chaque instant, s’enclenche réellement à partir de l’âge de six voire sept ans, âge de raison. Age de l’entrée à l’école primaire, aussi. Cette dite rentrée changea littéralement la vie du petit Cléhadore car c’est ici que débuta sa propre descente aux Enfers.
En effet, ses parents, comme la plupart de ces derniers, cherchent, plus ou moins, à assouvir leurs rêves inachevés à travers leur progéniture. Maryweather et Edward ne faisaient pas exception à la règle. Dès le cours préparatoire, la vie du jeune homme fut mise sur des rails, ceux de la réussite. Il devait exceller partout, dépasser et enfoncer ses petits camarades dans la boue. Au début, la difficulté était minime et le concept plutôt divertissant, malgré que le dit concept le coupa littéralement du monde extérieur.
Il ne s’épanouissait pas de la même manière que ses contemporains, était contraint et forcé de grandir bien vite dans sa tête et de délaisser ces ‘enfantillages’ qui le tentaient tant.
L’intérêt de la chose diminuant de classe en classe, avant de perdre tout son intérêt à l’entrée au Collège. Interne dans un établissement privé, il eut tôt fait de comprendre que les études, ce n’était pas vraiment pour lui. Pourtant la pression parentale, toujours plus forte, toujours plus écrasante, le poussait à continuer, le dégoûtant peu à peu du milieu scolaire. A l’entrée au Lycée, on lui clamait un avenir plus que prometteur. Les professeurs ne tarissaient pas d’éloges à son égard, on disait de lui qu’il était ‘Un de ces génies, comme l’on en voit qu’une fois par siècle’. On lui fit même sauter la seconde.
Savoir qu’ils infligeaient à leur fils plus que le bagne, ne dérangeait en rien que le couple qui à chaque trimestre jubilait devant le bulletin de l’enfant. L’éloignement ne les faisait en rien souffrir non plus, ils n’aimaient le fruit de leurs entrailles que pour ce rêve qu’il accomplissait à leur place. Quant à lui, Cléhadore avait été peiné d’être séparé de ses géniteurs les premières années du Collège mais ces derniers étaient bien vite descendus dans son estime : il les considérait comme d’immondes généraux obligeant au pauvre détenu qu’il était mille et une peines.
Il sortit du Lycée à dix sept ans, diplôme en poche, pourvu d’une mention ‘Très bien’. De nombreuses écoles voulaient l’avoir dans leurs rangs. Son père allait l’inscrire de force dans celle qu’il estimait la plus prestigieuse quand un événement des plus tragiques survint : sa mère mourut d’une attaque cardiaque dans la nuit du douze juillet.
Son père en fut bien plus attristé que le jeune Cléhadore qui l’avait si peu connu et qu’il n’avait guère considérée comme une mère mais plutôt comme une marâtre assoiffée de reconnaissance, qu’elle pensait pouvoir obtenir grâce à la réussite scolaire de son fils. Edward, lui, était détruit, un homme littéralement brisé. Il avait aimé sa femme depuis ce jour de printemps jusqu’à sa mort, d’un amour pur, dévoué et éperdu.
Sombrant dans les méandres de la détresse, il commença à boire. Beaucoup. Chaque soir, assis à la grande table, comportant un gigantesque nombre de places vides, il parlait à son fils, les yeux dans le vague :


« Tu sais Cléhadore, ta mère, je l’aimais … Bordel, c’que je l’aimais ! Je vais crever, sans elle, tu comprends morveux ! dit-il en le secouant comme un prunier. JE L’AIMAIS ! ET ELLE EST MORTE ! » dit-il en tapant du poing sur la table.

Cléhadore ne disait rien. Il assistait à la déchéance d’un homme noble, qui se laissait mourir d’amour, et qu’on disait être son père. Il observait la mine neutre les effets de l’alcool et du chagrin sur l’être humain. Il devenait violent, grossier, irritable. Cléhadore observait mais ne disait rien. Comme au Lycée, comme partout. C’était ce qu’on lui avait appris, c’était cette fameuse ‘clé du succès’.

Le lendemain, alors que les onze heures sonnaient au clocher de l’église, en contrebas, le jeune homme se dirigeait vers la chambre de son père, se demandant ce qu’il pouvait bien faire encore au lit à une heure pareille. N’y allons pas par quatre chemins : il le retrouva pendu, sans même une lettre, sans même un mot pour son fils, juste un austère testament où il lui léguait tout. La maison de la cave aux greniers, toutes ses terres et toute son immense fortune.

Toute personne normalement constituée eut été choquée de ces événements, de ces deux décès dans un si court laps de temps, de l’horreur d’avoir découvert le cadavre et de l’incommensurable tristesse d’être orphelin. Autant dire que pour Cléhadore ce n’était pas le cas. Il se sentait libéré d’un poids. Comme si tout ce temps, il avait été coincé sous des décombres et qu’une horde de pompiers venaient enfin de le secourir. Il respirait à nouveau, sorti des griffes de ce qui lui avait servi de parents durant ces dix-sept années.
C’est alors que cette partie, ce petit bout d’enfant qui sommeille en chacun se réveilla peu à peu en lui, cet enfant refoulé, dominé par l’écrasante éducation, venant rallumer les lumières éteintes dans ses yeux couleur d’eau douce. C’est ce même ‘enfant’ qui le poussa jusqu’aux portes du Casino pour la première fois. Il avait simplement demandé à un passant la chose suivante :


« Vous savez où est-ce que je peux jouer ?

- Au Casino, bonhomme. A deux rues d’ici, tu tournes à gauche et t’y es. »


Les lourdes portes surchargées à peine poussées que la fièvre du jeu l’envahissait déjà. Il n’avait même pas à s’en faire pour tout le côté pécuniaire : de l’argent, il en avait à revendre. Il essayait tour à tour chacun des divertissements proposés, les machines à sous, la roulette, revenant chaque soir. Mais son coup de cœur résida dans le Black Jack. Ce jeu où il excellait, consistant à amasser des cartes afin de se rapprocher au plus près du 21.
Comme l’héroïne est la drogue de certains, le Casino devint la sienne. Aspiré dans cette spirale infernale, où ce jeune riche perdu, irresponsable, enivré par le jeu, n’ayant aucun sens des responsabilités se noie, il est impossible à Cléhadore de se poser et de réaliser que son avenir s’effondre chaque jour un peu plus.

Enfin, ceci, c’était sans compter l’arrivée d’un gardien dans sa vie …


Dernière édition par le Mer 14 Mar - 20:08, édité 5 fois
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Dieu
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Dieu


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Lié à : Un Farfadet nommé Désir
Date d'inscription : 25/10/2006

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MessageSujet: Re: . BYRON Cléhadore .   . BYRON Cléhadore . Icon_minitimeVen 9 Mar - 10:00

Bonjour et bienvenue !

Très bonne fiche, je pense que tu auras dû rencontré dans ta ptite vie de riche héritier, un certain nombre des personnes de même classe sociale (voir le topic dans la Génèse Wink)

Par contre, il conviendrait que tu te relises, il y a deux trois fautes assez facheuses (du genre : il a été mise) ou autre.

Tiens-nous au courant ^^
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Asphodèl
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MessageSujet: Re: . BYRON Cléhadore .   . BYRON Cléhadore . Icon_minitimeVen 9 Mar - 15:47

R'gardez moi ces fans de Kaoru Yuki! Han! Very Happy

Ici le comte de Cain rejoint les affabalutions dérivées d'Angel Sanc Smile
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Cléhador
Invité




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MessageSujet: Re: . BYRON Cléhadore .   . BYRON Cléhadore . Icon_minitimeMar 13 Mar - 21:04

Voilà, j'y ai passé un bon bout de temps et je pense avoir tout corrigé, du moins je l'espère =)

Pour ce qui est des rencontres dans le milieu de la 'noblesse', Cléhadore n'a pas vraiment eu l'occasion d'en faire, ou alors uniquement lorsque qu'il était très jeune (Et ne se souvient donc pas spécialement des visages, uniquement de quelques noms récurrents.) car il a été ensuite placé en Internat. Après la mort de ses parents, qui s'est déroulée juste après l'obtention de son diplôme, il s'est complétement désinterressé de ces mondanités.

Au fait : Pourriez-vous, s'il-vous-plaît, créer un Casino ? Si cela est possible bien sûr ^^

[ Fan de Comte Cain et God Child surtout (*_*), car je n'ai eu l'occasion de lire que trois tomes d'Angel Sanctuary et ne me suis pas plongée dans d'autres mangas de Kaori Yuki. ]


Dernière édition par le Mar 13 Mar - 22:46, édité 1 fois
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Marie M
Médium
Marie M


Nombre de messages : 199
Lié à : Non mais c'est une question à poser à une demoise... jeune hom.. enfin...
Date d'inscription : 07/03/2007

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MessageSujet: Re: . BYRON Cléhadore .   . BYRON Cléhadore . Icon_minitimeMar 13 Mar - 21:57

Ok, il n'y a plus de problème, corrige juste :

Citation :
Au début, la difficulté était minime et le concept plutôt divertissant, malgré que ledit concept le coupait littéralement du monde extérieur

Le coupa

Y'en a encore une ou deux de ce type, mais pas trop graves.
Pour le Casino, moi je ne peux pas te dire, mais je pense que même si il n'y en a pas un "Grand", on pourra toujours en créer un "mini" dans un bar.

Ta Gardienne est Kali Masswood, et je t'annonce:

FICHE VALIDEE !
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Asphodèl
Invité




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MessageSujet: Re: . BYRON Cléhadore .   . BYRON Cléhadore . Icon_minitimeSam 17 Mar - 15:29

Le casino a déjà été créé depuis belle lurette! (enfin, juste au moment où tu avais fait ta fiche), il se situe aux sous sols du Keio Plazza il me semble.

Si tu as été en internat, tu as du y rencontrer Vaïa ^^

(Ouh, il faut que j'actualise les liens moi...)
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MessageSujet: Re: . BYRON Cléhadore .   . BYRON Cléhadore . Icon_minitime

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