° Les Gardiens °
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 Ulquiorra Arrancar

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AuteurMessage
Ulquiorr
Invité




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MessageSujet: Ulquiorra Arrancar   Ulquiorra Arrancar Icon_minitimeLun 19 Fév - 22:35

Nom : Arrancar

Prénom : Ulquiorra

Surnom : Personne n'est assez attaché à Ulquiorra pour lui avoir donné un surnom. Si c'était le cas, ça doit faire longtemps qu'il l'a oublié...

Âge : 18 ans

Profession : Etudiant. Si si si, il est pas souvent en cours mais officiellement il est étudiant !

Rapide description physique : Ulquiorra n'a pas tellement un physique banal. Pas très extraordinaire non plus. Un physique qui lui est propre, ni plus, ni moins. Grand, très grand. Du moins, c'est ce qu'il paraît, vu qu'il est filiforme. Son teint pâle voir grisâtre donne rarement envie de l'accoster dans la rue, surtout avec ses yeux émeraudes qui semblent être la seule forme de vie sur ce qui ressemble à un zombie à première vue. Mais détrompez-vous, il est vivant, bien qu'il se fiche de cet état qu'il juge précaire.

Description psychologique : Le mental d'Ulquiorra est très complexe. Pervers loin d'être refoulé, que ce soit avec la gente féminine ou masculine, il ne rate aucune occasion de sortir des remarques déplacées et incommodes. Mais la perversité n'est pas son seul défaut. Imbu de lui-même, provocateur, manipulateur, complètement dérangé, et sans aucun doute psychopathe, il n'a rien pour plaire, mais de toute façon, n'en a rien à faire, pour la simple et bonne raison qu'il se fiche éperdument de ce que peuvent penser les autres de lui. Une qualité ? Oh, il en faut bien une pour confirmer la règle : Ulquiorra sait ce qu'il veut, et est prêt à tout pour arriver à ses fins.

Mortel de : L'infortuné ErwanTemporo
Passé :

Mmmh le passé d'Ulquiorra... Hey, Quioquio !
"M'appelle plus jamais comme ça"
Oui, bon, Ulquiorra ?
"C'est mieux..."
Hem...
J'te laisse raconter ta vie hein ?

"Si t'y tiens..."
C'est plus que j'ai la flemme, alors je te laisse faire hein ?
"Arrête de te justifier ou je change d'avis..."
Bien...

"Bon, je dois donc raconter ma vie. Rien à dire de particulièrement passionnant. Je suis né d'un père et d'une mère. Logique non ? Ni riches, ni pauvres, quoique plus pauvres que riches. De toute façon je m'en foutais pas mal, je restais cloîtré dans ma chambre 24h/24h. Pourquoi ? Simple : je ne voulais pas apprendre. Ou plutôt, je ne voulais pas me retrouver au milieu de "camarades de classe" aussi idiots et inintéressants que j'avais pu en voir.

Aussi, je restais enfermé chez moi, apprenant ce que bon me semblait quand j'en avais envie, et finalement, à l'âge de dix ans, j'acquis autant de connaissance qu'une personne de dix-sept. Vous pensez sans-doute que je me vante. Je n'ai pas à me vanter, c'est la stricte vérité. Les autres sont simplement trop idiots pour moi... Père et mère avaient beau tout tenter pour m'envoyer à l'école, jamais je n'en vis l'intérêt, et jamais je n'y mis les pieds. Sauf une fois.

Une fois, alors que j'avais quatorze ans, m'ennuyant à mourir, je me décidai à tenter une journée dans le collège de mon quartier. J'y entrai, prit place, et écoutai le cours. Rien de bien passionnant, j'avais déjà tout appris. Souvent je les corrigeai. Et souvent ils me fusillaient du regard, comme si j'étais un intrus dans la salle de classe. Ce n'était pas moi l'intrus. C'était eux. Toutes ces personnes qui ne sont même pas capables d'apprendre par elles-même et qui doivent écouter le cour barbant d'un professeur manquant d'autorité.

Je finis par sortir de la salle de classe, et me retrouvai dans le couloir, à lire un quelconque livre emprunté à mère. C'est alors qu'une jeune élève me bouscula. Charmante, elle se confondit en excuses. Mais je n'y prêtai pas attention. Non, autre-chose m'intéressait en elle, comme une aura attirante et séductrice (note : rien à voir avec les Gardiens)
[Modo= Comme si les Gardiens avaient quoi que ce soit d'attirant...]. M'y prenant comme je pensai le devoir, je l'emmenai dans un recoin de l'établissement, et nous apprîmes les plaisirs de la chaire. Du moins, moi plus qu'elle, elle me semblait quelque-peu réticente, surtout quand je..."

Ulquiorra, je t'arrête tout de suite, on s'en fout de ça

" 'Faut savoir, je raconte ma vie ou pas ?"
Ouais, mais épargnes-nous les détails pervers...
"Tsssk, aucun goût pour la seule chose que la vie a d'intéressant...

Bref, après cette expérience fort plaisante, de décidai de suivre le programme scolaire. Ou plutôt d'attendre chaque fin de cours pour faire ces quelques petites choses agréables avec les demoiselles qui semblaient avides de ce plaisir"
ULQUIORRA !
"Ouais ouais ouais...

Arrivé au lycée, je m'adonnai alors à la drogue et l'alcool, sans pour autant abandonner ce que j'avais commencé au collège. Les mâles en rut jaloux de mon si grand succès en avaient pas mal après moi, et m'attendaient toujours à la sortie de l'établissement pour me "régler mon compte" à ce qu'ils disaient. Sottises. Ne voyant là dedans qu'un jeu tribal auquel ils s'adonnaient, tout homme des cavernes que chacun était, je prenais les coups sans jamais les leur rendre. Du moins, directement. Ils apprirent plus tard que la vengeance est un plat qui se mange froid. Deux ou trois mois après le début de l'année, chacun des membres de ce groupe qui me malmena, fut retrouvé mort, égorgé.

Et l'égorgeur, c'était moi. Je dois dire que je ne fais pas de sale boulot. C'est droit, c'est propre, c'est net, et tout ce liquide écarlate qui jaillit me procure des frissons dans le dos.

Après cette anecdote, je pris goût à ce nouveau plaisir qui m'avait été donné. Cette terre n'était peuplé que d'humains imbéciles et incapables de faire quoi que ce soit de leurs dix doigts, je m'octroyai le droit de la soulager de ses pires boulets, devenant ce que l'on appelle alors un "tueur en série", voire même "tueur à gages" lorsque j'ai besoin d'argent. Ma série à moi, ce sont tous ces petits capitalistes qui sont les pires dans la catégorie humaine. Et lire le lendemain d'un travail bien fait "Monsieur Untel a succombé aux suites d'une grave maladie" ne peut que m'arracher un rictus satisfait. Ils étaient bien trop pourris pour qu'on ne dise qu'ils sont mort de ma main..."

Merci Ulquiorra pour ta contribution... J'aurais p't'être dû la faire en fin de compte... M'enfin ça résume ta pitoyable vie...
"Pas plus pitoyable que la tienne"
Moi chuis pas tueur en série !
"Ce métier est bien plus passionnant que tu ne le penses..."
Pour des tordus dans ton genre ouais... Bon bah voilà, s't'un pôôôvre Mortel qu'a franchement besoin qu'on le prenne en main
"mmmh j'aime beaucoup ce sous entendu..."
Haaan nan s'pas vrai il a des tendances SM !
"Ca te dérange ?"
...

Lien avec d'autres personnages : Aucun pour l'instant


[Supplément] Comment avez-vous connu ° Les Gardiens ° ? Ocularis Infernum Very Happy
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Asphodèl
Invité




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MessageSujet: Re: Ulquiorra Arrancar   Ulquiorra Arrancar Icon_minitimeMar 20 Fév - 3:02

Quelques bourdes à corriger, (elles sont pas bien nombreuses), sinon ton perso craint vraiment du boudin, si ça ne tenait qu'à moi, t'aurais déjà une musolière. What a Face

Enfin bon, je me demande si les "Gardiens" auraient pas du l'être d'aliénés en fait, les ailes, ce serait juste pour faire croire que c'est une autorité supprême qui veut que tu rentres, là, au fond sur ta gauche, dans ta cellule capitonnée.

Qui sait, après tout, ce n'est pas la cuillère qui est déformée, seulement notre vision des choses.

Mais jolie fiche (même si ultra bourrine de la mort-qui-tuera), à se demander comment Dieu peut accorder une seconde chance à certains individus...


Traitement de faveur, je te corrige tes bourdes, va pas t'y habituer choupette.

Gare aux accords du passé simple, en règle générale, à la première personne du singulier, s'pas des fins en "T", m'enfin, je pense que c'est plus de l'innatention qu'autre chose.
Un site qui est très bien: http://www.la-conjugaison.fr/ quand on a un doute (je m'en sers souvent)!

En ce qui concerne le mélange "narrateur" et "personnage", c'est un style sympas (dont j'abuse parfois), mais à délimiter par une syntaxe plus lisible, le narrateur toujours en italique, par exemple (puisqu'il fait toujours parti du domaine de la narration, même s'il est manieur supprême de son personnage), et on revient à la ligne à chaque intervention (comme d'un dialogue normal) histoire de pas s'emboruiller dans le texte. Bien entendu, cette remarque concerne les parties RP.

[J'ai mis en application mes conseils sur ta fiche]


[Fiche validée].
(sauf contradictions divines)

On t'attribuera un gardien dès que l'on en aura un sous la main (et surtout prêt à te subir...)
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Ulquiorra Arrancar
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