Nom :Delagarde
Prénom : Léandre
Surnom : cela peut dépendre des personnes
Âge : 8 ans
Profession : écolier
Rapide description physique : Comme l’on pouvait aisément s’y attendre, Léandre est petit, cependant il est d’une taille inférieure par rapport à celle des autres garçons de son âge. Très mince et la peau très pâle, il paraît très fragile et bon nombre se font un sang d’encre lorsqu’ils le verront s’agiter et gesticuler dans tous les sens.
Léandre est de ces enfants qui à qui on a toujours envie de céder aux envies et de pardonner les moindres bêtises. Dans une autre situation familial, ça aurait pu être le cas, mais venant d’une bonne famille celui qui s’est occupé de Léandre a toujours su résister à la tentation. Car le petit à un visage d’ange, ni plus ni moins. Ses cheveux châtains clairs tombent au dessus de grands yeux verts, dans lesquels on peut voir de l’innocence et la naïveté qui caractérise si bien les enfants, mais également une faible pointe de tristesse, qui laisse penser que derrière son apparence enjouée, le petit garde en lui de la rancœur. Ajoutons à ces yeux particulièrement expressifs une petite bouche qui forme souvent un sourire angélique, voir enjôleur, ce qui fait qu’il en mettra plus d’un dans sa poche de cette manière là.
Pour finir, on ne verra jamais le petit habillé de couleur sombre, mais seulement des couleurs claires, en particulier les couleurs pastels, le gamin détestant tout simplement les couleurs foncées.
Description psychologique : Adorable, c’est le moins que l’on puisse dire de Léandre. Tout mignon, tout gentil, patient il faut cependant prendre garde à ne pas le croire calme. Calme, il l’est seulement en présence de quelqu’un qui a de l’autorité sur lui, car en réalité c’est un vrai singe, ne perdant jamais une occasion de courir partout, de sauter, se cacher… bref il ne tient pas en place et fait un gros effort sur lui-même pour rester calme. De nature assez curieuse, il n’a pas vraiment conscience du danger qu’il l’entoure, aimant s’amuser. A noter que Léandre adore les jouets, en particulier les peluches, les voitures et les petits soldats.
Mais malgré ce côté enjoué, c’est cependant un gamin très frustré.
Tout d’abord, bien qu’il sait qui est sa mère, il ne la connaît pas, n’ayant pas le souvenir d’avoir passer un seul après midi avec elle. Il a donc des liens quasi inexistants avec sa mère, allant jusqu’à l’appeler « Madame ». Cependant, malgré le fait qu’il la considère presque comme une étrangère, il essaie tant bien que mal de lui plaire, ne sachant tout simplement pas si c’est le cas ou non.
Ensuite, son père. Léandre aime son père, car celui-ci est gentil avec lui. Mais à part le fait que son père se soit chargé de son éducation, leurs relations ne vont pas tellement plus loin, au grand regret du petit.
Même si Léandre est parfois triste, il est cependant loin d’être dépressif, et certainement trop jeune pour penser au suicide ou à la drogue. Cependant il court constamment un grand danger. En effet, le petit est atteint d’une maladie très rare, l’hémophilie. Il est le seul membre de sa famille à être atteint de cette maladie, caractérisée par une absence de coagulation de son sang. Ainsi la moindre blessure, même une qui peut paraître en temps normal assez bénigne, peut causer une hémorragie importante. De ce fait on a tendance à surprotéger Léandre, et le gamin se voit interdire pas mal de choses.
Ses camarades de classes mis à part, Léandre aime beaucoup sa sœur, elle qui semble l’aimer tel qu’il est. Il est sûrement le seul dans sa famille à la trouver très belle et la prend de plus en plus comme modèle, ce qui ne plait pas beaucoup à ses parents…
Mortel de :
Passé : Ce fut par un beau jour d’été que le petit Léandre vit le jour au sein de la famille Lagarde. Dés ses premiers cris il attendrissait tous les gens autour, et les infirmières devenaient complètement gâteuses. Dés son plus jeune âge, Léandre sourit beaucoup. Cependant sa mère cessa de s’occuper des lui alors qu’il n’était encore qu’un bambin, et le petit a toujours souffert de cette séparation, choisie par l’un, subie par l’autre. De plus, lorsque l’on est enfant, on ressent beaucoup plus le besoin d’être avec sa mère plutôt qu’être avec son père. Et, dans le cas de Léandre, c’était tout à fait l’inverse.
Vers l’âge de ses trois ans, il ressentit une profonde aversion pour son père, et les deux vécurent une période difficile. Tous surent explicitement que le petit faisait là son complexe d’Œdipe, puisqu’au court d’une après midi durant laquelle il jouait avec sa mère, le môme avait explicitement déclaré qu’il comptait tuer leur père pour que la dame soit plus présent avec eux. Mais, au bout de quelques mois, remarquant que son père prenait grand soin de lui, Léandre fut pris de culpabilité et cessa d’être infâme envers son père, mais ne cessa d’espérer que la dame s’occuperait finalement de lui.
Deux ans s’écoulèrent ainsi, Léandre ne voyant jamais sa mère sauf occasionnellement aux heures de repas, suivant les consignes de son père et passant la plupart de son temps avec sa sœur lorsqu’il n’était pas à l’école. Pour lui c’était une vie tout simplement banale, même s’il ne lui manquait une chose : une mère digne de ce nom. Mais, une après midi, Léandre avait alors cinq ans, il se fut voir supprimé son jouet préféré du moment, une voiture téléguidé, parce que la dite voiture était rentrée en collision avec un vase que papa avait acheté au cours d’enchères. Après s’être pris une bonne fessée le petit se fit supprimer son jouet qui se retrouva au sommet de plusieures étagères. Alors Alexander, sans le vouloir, commis une grosse erreur. En effet le téléphone sonna, et l’homme ordonna à son fils de ramasser les bouts à l’aide d’une pelle et d’une brosse. Mais le petit en eut rapidement marre, trouvant que ramasser les débris avec une brosse prenait trop de temps. Il eut alors la dramatique idée de les prendre à pleines mains, et même finit donc par se faire une belle entaille. Mais, là où il aurait dû saigner un petit peu durant quelques minutes, le sang se mit à couler de plus en plus, et les minutes passaient sans que le sang ne s’arrête de couler. Pris de panique, Alexander prévint les pompiers, qui arrivèrent en toute hâte. Le fils de Madame la Maire était en train de faire une hémorragie ! Par chance il fut sauvé, et c’est là que la famille apprit que le cadet était hémophile. Dés lors Léandre se vit supprimer pas mal de choses : par exemple il n’avait plus le droit d’utiliser un couteau, sauf si celui-ci était en plastique. Les ciseaux furent bannis des endroits à la portée du gamin, et Léandre se faisait (et se fait toujours d’ailleurs) sérieusement réprimander s’il se faisait surprendre à faire le singe.
En grandissant on lui interdira également de pratiquer le moindre sport, lui qui rêvait de faire de l’équitation. Par on ne sait quel miracle son père lui a autorisé à panser les chevaux, ce qui cependant n’apaise pas la frustration du petit. Sous la surveillance de son père ou d’un autre adulte, il est sans cesse cantonné à des activités calmes. Cependant il arrive des fois à trouver un compromis entre ses envies et sa maladie. Ainsi à l’école, à défaut de pouvoir jouer au foot avec ses copains il arbitre les matchs. Il est aussi très populaire auprès de ses petites camarades étant l’un des rares à accepter de jouer « au papa et à la maman ». Mais cela ne l’empêche pas de se faire traiter de « fillette » par ses ennemis jurés et d’être constamment surveillé à l’école ou à la maison. Surveillance qui en devient parfois presque abusive et, par conséquent, le petit Léandre s’en donne à cœur joie lorsqu’il n’y a personne chez lui, ce qui est bien plus dangereux encore. Et le pire, c’est qu’il est tellement frustré sur bon nombre de points qu’il ne parvient pas à comprendre que c’est pour son bien qu’on lui donne des interdits. Cependant lorsqu’il est avec sa sœur il arrive à faire à peu prés ce qu’il a envie, et comme cela se passe bien à chaque fois, il est persuadée que son père et sa maîtresse n’ont aucune raison de s’inquiéter.
Dernièrement la famille compte un nouveau membre, Cassandra. Ne la connaissant pas encore vraiment, il espère qu’elle aussi acceptera d’être de temps à autres sa camarade de jeux.
Lien avec d'autres personnages :
Fils d’Emmanuelle Authouard, il ne partage rien avec elle bien qu’il s’efforce de lui plaire.
Fils d’Alexander Delagarde, il entretien de vrais liens père-fils avec lui bien que depuis la connaissance de sa maladie, son père lui donne plus d’interdits qu’autre chose.
Frère de Valentine Delagarde, il adore sa sœur
Il vit avec Cassandra Zander, mais il est encore trop tôt pour déterminer le type de relation qu’ils entretiennent.
[Supplément] Comment avez-vous connu ° Les Gardiens ° ? Par Tour De Jeu. (je fais également Tiyana)
Sam 13 Jan - 23:00
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