Nom : Fuma
Prénom : Kamui
Surnom de Gardien : aucun
Âge lors de la Mort : 7 ans
Âge de Gardien : 6 mois
Rapide description physique : Kamui a les cheveux châtains clairs et fins, il semble toujours s’être coiffé avec la main.
Ses yeux bleus, virant très franchement sur le violet depuis sa mort, trouble beaucoup de monde, enfin, beaucoup du peu de personnes qui l’ont vu en tant que gardien.
Il a le visage fin, caractéristique aux jeunes enfants. Il est plutôt petit pour son âge, 1m20 et pèse 19 kg Il préfère s’habiller de couleurs claires, rappelant l’innocence des enfants. Préférant oublier le plus possible sa vie de mortel, il à décider de changer complètement son style vestimentaire, depuis Il porte tout le temps un grand manteau blanc qui lui arrive jusqu’aux pieds ou presque. Ses ailes semblent légèrement dorées, une caractéristique des gardiens enfants ?
Description psychologique : Kamui est un enfant très réservé qui ne parle pas beaucoup. Il pense toujours que tout ce qu’il fait est une erreur et il n’arrête donc pas de s’excuser tout le temps dés qu’on lui reproche quelque chose. Il aime qu’on s’occupe un peu de lui, car jusqu’à présent, personne ne la fait. Il reste avant tout un enfant est aime donc la douceur bien qu’il ne l’ai très peu connu. Il déteste par-dessus tout la violence gratuite. Il déteste toute forme de violence.
Quant il été encore vivant, Kamui aimait les belles choses mais simples. Un paysage un soir d’hiver, un couché de soleil, une fleur isolé sous la pluie... Il aimait toutes ces petites choses de la vie quotidienne que peu de personne remarque. Il aimait beaucoup dessiner et dés qu’il était en présence d’un crayon et d’une feuille, il ne pouvait s’empêcher de dessiner ce qu’il voyait, cherchant toujours un petit détail qui fait tout changer.
Etant encore jeune, il n’a aucune expérience sur l’amour, on ne peut donc pas donner ses préférences.
Gardien de : Nolaan
Passé : Née dans une famille plutôt aisée un soir plutôt chaud de printemps d’un père ingénieur et d’une mère informaticienne. Il vivait dans une grande maison ancienne, héritage transmit de génération en génération dans la famille du côté de son père.
Dés son plus jeune âge il compris quelque chose, ses parents préféraient se défouler sur lui plutôt que de crier l’un sur l’autre ou de lui faire des câlins. Pour la moindre chose, même pour rien des fois, il prenait des coups. Tantôt à la main, tantôt avec une ceinture ou autre chose. Cela variait selon les jours, l’humeur parentale et de ce qu’ils avaient à porter de main.
A force de se faire frapper sans vraies raisons et de ne voir personne s’occuper de lui ou lui manifester le moindre signe de tendresse, il finit par s’enfermer dans un monde imaginaire, rempli de beautés que les adultes avec leurs grandes tailles et leurs yeux aveugles ne sont plus capables de voir.
Pour faire vivre son monde de beauté il se mit seul au dessin. Quant il pouvait sortir, il allait chercher un crayon et du papier dans la papeterie de la ville et dessinait ce qu’il voyait. Parfois une fleur seule au milieu d’un champ, parfois un paysage. Ses dessins n’étaient pas brillant mais c’était son moyen de s’évader, d’oublier quelques temps ce que lui faisaient subir ses parents.
Puis un jour froid d’hivers, alors qu’il courait pour voir le lever de soleil, et que ses parents n’étaient pas la, il renversa accidentellement un vase. Paniqué et effrayer par la punition qui ne manquerais pas de tomber, il décida de cacher les morceaux cassés dans sa chambre. Il couru donc avec les morceaux dans les mains, se coupant légèrement les doigts au passage et laissant son papier et sa feuille prés du lieu du drame.
Lorsque ses parents rentrèrent, un problème inattendu se produisit. Sa mère revint avec des fleurs. Il fallait donc un vase. Ils se rendirent donc compte rapidement de la disparition du vase, ils auraient pus penser l’avoir ranger ailleurs puis l’avoir oublié mais ils virent le dessin abandonné, preuve plus que suffisante pour eux sur l’identité du coupable.
Ils se dirigèrent donc rapidement vers la chambre de Kamui et tombèrent sur une porte fermée à clé. Ils tambourinèrent longtemps sur cette malheureuse porte.
Apeuré, le petit Kamui n’osait pas ouvrir, mais il finit par se dire que s’il n’ouvrait pas, ça allait être bien pire.
Il alla donc doucement déverrouiller la porte et à peine eu t’il tourner le loquet que la porte s’ouvrait violement en l’envoyant valdinguer un peu plus loin dans la pièce.
Sa mère lui jeta les fleurs violemment dans la figure, demandant où se trouvait le vase. Il tenta d’expliquer que ce n’était pas lui et que ce n’était pas de sa faute, son père lui montra le dessin qu’il déchira avant de le ruer de coup avec un bâton pris avant de venir. Il tenta de fuir mais se retrouva bloqué par sa mère dans un coin de la pièce. Ils se mirent à deux pour le frapper et ils frappèrent un peu plus fort que d’habitude ce soir là.
En cette froide nuit d’hiver, Kamui mourut de la main de ses parents et dans l’indifférence là plus totale.
- - -
Après sa mort, il devint un gardien. Son jeune âge ne lui rendait pas la tache facile car les personnes qu’il devait protéger ne l’écoutaient pas, difficile de croire la parole d’un gamin ailé non ?
Il continua à dessiner comme il pouvait, traçant des traits dans la neige ou sur le sol, se rattachant toujours à l’espoir que tout s’améliore et à son monde qui ne l’avait pas sauvé. Après tout, si Dieu avait fait de lui un gardien, il devait y avoir une raison non ?
Son premier mortel fut une femme prostituée qui vivait dans la drogue.
La première fois qu’il lui apparut, la femme était en pleine séance de shoot, complètement sous l’effet de ce qu’elle venait de fumer, elle cru à une hallucination. Lorsque les effets de la drogue furent passés, Kamui retenta sa chance. Il lui expliqua qui il était et ce qu’il voulait.
Malheureusement, lorsqu’on est un enfant de 7 ans, c’est dur de convaincre que l’on est un gardien censé veillé sur quelqu’un.
Elle l’ignora tous simplement, prétextant un abus de produit illicite, mais elle n’arrêta pas pour autant. Cette ignorance dura environs 3 mois. Le pauvre enfant devait constamment subir le travail de sa Mortel ne pouvant pas s’éloigner. Il la sauva plusieurs fois, d’une voiture, d’un homme trop collant ou autres petites routines de la vie mais la femme mis, à chaque fois, cela sur le compte de la simple chance, aillant reléguer Kamui au rang d’hallucination permanente .
Au bout de ces trois mois, elle en eu assez d’avoir un gamin qui la regardait lorsqu’elle «travaillait »
Elle finit donc par consulter plusieurs spécialistes pour se débarrasser de la vision de ce petit bonhomme avec des ailes, elle tenta les calmants, les anti-hallucinogènes, puis, une fois toutes les voies médicales à la porté de sa bourse furent épuisées, sans succès, elle revint aux produits moins légaux, augmentant peu à peu les doses mais lorsque les effets disparaissaient, lorsqu’elle rouvrait les yeux, Kamui était toujours là.
Durant cette période qui dura deux mois, Kamui dut user de toutes les stratégies possibles pour éviter une mort certaine à sa Mortel sans éveiller les soupçons des autres vivants.
Un soir, alors qu’elle était dans une sorte de petit bois, Kamui repéra un homme pas net et insista pour qu’elle rentre rapidement. Elle ne l’écouta encore pas et continua sa route.
L’homme la trouva quelques minutes plus tard et, comme l’avait craint Kamui, l’agressa.
Cette fois ci, le jeune gardien ne su comment réagir, trop choqué par ce qu’il voyait, il ne pensa même pas à utiliser ses pouvoirs. Après l’avoir violée, il la tua de plusieurs coups de couteaux sous les yeux impuissants de Kamui.
Il retourna auprès de dieu, cela fait maintenant un mois qu’il attend de se voir confier un nouveau mortel, se remettant peu à peu du choc de son premier echec.
Comment avez-vous connu ° Les Gardiens ° ?
Grâce à Legan kelops
Dim 7 Jan - 19:53
